Guide Complet de la Solution Gestion Multi-Biens 2025

Publié le 8 November 2025

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Gérer plusieurs biens immobiliers en 2025 demande une organisation irréprochable et une vision d’ensemble. Heureusement, la solution gestion multi-biens transforme cette complexité en opportunité grâce à des outils digitaux performants.

Ce guide complet vous dévoile comment optimiser chaque aspect de la gestion de portefeuilles immobiliers variés. Vous y découvrirez une analyse des défis actuels, les critères essentiels de choix, les fonctionnalités incontournables, les étapes de mise en œuvre, les tendances à suivre et des conseils pratiques.

Attirez votre attention sur la complexité croissante du secteur, laissez-vous inspirer par les nouvelles solutions, ressentez le désir d’efficacité et passez à l’action grâce à des recommandations concrètes.


Comprendre les Enjeux de la Gestion Multi-Biens en 2025

Gérer un portefeuille diversifié de biens immobiliers exige une approche structurée et adaptée. En 2025, la complexité du marché, l’évolution des profils d’investisseurs et l’exigence de conformité rendent la solution gestion multi-biens incontournable pour optimiser chaque étape. Explorons les enjeux majeurs à connaître pour anticiper les défis et saisir les opportunités.

Comprendre les Enjeux de la Gestion Multi-Biens en 2025

L’évolution du marché immobilier et la diversification des portefeuilles

Le marché immobilier français connaît une transformation profonde. De plus en plus d’investisseurs, particuliers ou via des structures comme SCI ou LMNP, choisissent la diversification pour sécuriser et dynamiser leur patrimoine. Cette évolution s’accompagne d’une digitalisation accrue des processus, permettant une gestion plus fluide et automatisée.

Selon Statistiques INSEE sur l'évolution des loyers en 2025, la hausse des investissements locatifs confirme cette tendance. Les profils d’investisseurs se multiplient : particuliers cherchant à compléter leurs revenus, sociétés civiles immobilières souhaitant mutualiser les risques, ou encore loueurs en meublé optimisant la fiscalité. L’enjeu : structurer une solution gestion multi-biens capable de répondre à cette diversité.

Les défis majeurs de la gestion multi-biens

Avec la croissance des portefeuilles, les défis s’intensifient. La complexité administrative et comptable augmente avec chaque bien ajouté. Le suivi des loyers, charges et échéances devient vite fastidieux. De nombreux investisseurs relatent des difficultés à tout concilier, risquant erreurs ou oublis.

  • Multiplication des tâches répétitives
  • Suivi difficile de multiples échéances
  • Risques d’erreurs dans les déclarations fiscales

Face à ces obstacles, une solution gestion multi-biens performante doit automatiser et centraliser l’ensemble des opérations.

Les conséquences d’une gestion inefficace

Une gestion mal structurée engendre des conséquences directes sur la rentabilité : retards de paiement, conflits avec les locataires, pertes fiscales. Selon les rapports de la FNAIM, les retards et impayés sont souvent liés à un manque d’organisation ou à l’absence d’outils adaptés.

La rentabilité globale du portefeuille s’en ressent, et la solution gestion multi-biens devient un levier essentiel pour éviter ces pièges. Les investisseurs dépassés témoignent d’une perte de visibilité et d’une gestion chronophage, freinant la croissance de leur parc.

L’importance de la conformité réglementaire en 2025

En 2025, le cadre réglementaire se renforce : obligations issues de la loi ELAN, nouveaux diagnostics de performance énergétique, évolutions fiscales. Les contrôles se multiplient, et les sanctions peuvent être lourdes en cas de non-conformité.

Exemples récents : amendes pour non-respect du DPE ou pour défaut de déclaration fiscale. Intégrer la conformité au cœur de sa solution gestion multi-biens permet de sécuriser ses investissements et d’anticiper les évolutions légales.

Pourquoi les solutions traditionnelles ne suffisent plus

Tableurs Excel, gestion papier ou outils non spécialisés montrent rapidement leurs limites : absence de vision en temps réel, risques d’erreurs manuelles, perte de documents. De nombreux utilisateurs ayant migré vers une solution gestion multi-biens digitale témoignent d’un changement radical dans leur quotidien.

Le manque d’intégration entre les différents aspects de la gestion (comptabilité, suivi locatif, échéances) freine l’efficacité et la croissance du portefeuille.

L’opportunité offerte par les solutions digitales

Face à ces enjeux, les solutions digitales s’imposent comme la réponse naturelle. Elles centralisent toutes les données, automatisent les processus et offrent un accès sécurisé à distance. Les statistiques montrent une adoption croissante de la solution gestion multi-biens en France, portée par la recherche de gain de temps et de fiabilité.

Automatisation, réduction des erreurs, suivi en temps réel : autant d’avantages qui transforment la gestion multi-biens en véritable levier de performance et de sérénité.


Critères Essentiels pour Choisir une Solution de Gestion Multi-Biens

Choisir la bonne solution gestion multi-biens en 2025 est une étape stratégique pour tout investisseur immobilier. Face à l’offre croissante, il devient crucial d’identifier les critères qui garantissent efficacité, sécurité et évolutivité. Voici les points clés à examiner pour sélectionner la solution gestion multi-biens la plus adaptée à votre portefeuille et à vos ambitions.

Critères Essentiels pour Choisir une Solution de Gestion Multi-Biens

Centralisation et accessibilité des données

La centralisation des informations est la pierre angulaire d’une solution gestion multi-biens performante. Une plateforme unique permet de visualiser tous les biens, locataires et échéances, offrant une vue d’ensemble claire, quel que soit le volume du portefeuille.

L’accessibilité sécurisée depuis tout appareil facilite la gestion à distance. Les tableaux de bord dynamiques permettent aux investisseurs de suivre instantanément les flux financiers, les taux de vacance et les alertes importantes.

Un système centralisé réduit les risques d’erreur et améliore la prise de décision. La solution gestion multi-biens doit garantir une expérience fluide, même en cas d’extension du parc immobilier.

Automatisation des tâches récurrentes

L’automatisation constitue un levier fondamental pour gagner du temps avec une solution gestion multi-biens. Les tâches répétitives comme la collecte des loyers, la gestion des relances ou la génération de documents comptables peuvent être gérées automatiquement.

Par exemple, la génération de quittances, d’avis d’échéance ou de bilans fiscaux se fait sans intervention manuelle. Selon Fonctionnalités de gestion locative avancée, l’automatisation réduit significativement les erreurs et optimise la productivité.

En limitant les interventions humaines, la solution gestion multi-biens libère l’investisseur pour des tâches à plus forte valeur ajoutée.

Intégration bancaire et synchronisation en temps réel

Une intégration bancaire sécurisée est indispensable pour une solution gestion multi-biens moderne. Elle permet la synchronisation automatique des transactions, la catégorisation des flux entrants et sortants, et la réconciliation rapide des paiements.

Grâce à la synchronisation en temps réel, l’investisseur visualise immédiatement les encaissements, détecte les retards et anticipe les impayés. Des cas d’usage montrent que cette fonctionnalité réduit considérablement les oublis et simplifie la gestion quotidienne.

La solution gestion multi-biens doit ainsi proposer des connexions bancaires fiables et conformes aux normes de sécurité actuelles.

Conformité réglementaire et sécurité des données

La conformité réglementaire est une exigence incontournable pour toute solution gestion multi-biens. Le respect des normes RGPD, la conservation sécurisée des documents et l’automatisation des obligations fiscales protègent l’investisseur des risques de sanctions.

Les plateformes avancées offrent des outils de veille, des alertes en cas de changements législatifs et un archivage sécurisé. Des contrôles réussis témoignent de l’efficacité de ces dispositifs.

La solution gestion multi-biens doit garantir la confidentialité des données personnelles et la traçabilité des opérations.

Scalabilité et adaptabilité de la solution

Un portefeuille immobilier évolue avec le temps. La capacité d’une solution gestion multi-biens à s’adapter à l’ajout de nouveaux biens, locataires ou comptes bancaires est un critère déterminant.

Les investisseurs témoignent de l’importance d’une interface qui reste performante quelle que soit la taille du parc. L’ajout de fonctionnalités ou d’utilisateurs ne doit pas compromettre la fluidité de la gestion.

La solution gestion multi-biens doit donc accompagner la croissance et s’adapter aux besoins spécifiques, du particulier à la SCI professionnelle.

Support client et accompagnement

Le support client joue un rôle clé dans l’adoption et l’efficacité d’une solution gestion multi-biens. Un accompagnement réactif, des ressources pédagogiques disponibles (guides, webinaires) et une assistance technique fiable rassurent les investisseurs.

Les meilleures solutions affichent des taux de satisfaction élevés, souvent confirmés par des avis sur Trustpilot. Un bon support facilite la montée en compétence et optimise l’utilisation des fonctionnalités.

Ce critère assure la pérennité et la rentabilité de la solution gestion multi-biens pour tous les profils d’utilisateurs.


Fonctionnalités Clés des Solutions de Gestion Multi-Biens Performantes

Pour tirer le meilleur parti d'une solution gestion multi-biens, il est crucial de s’appuyer sur des fonctionnalités avancées, pensées pour la performance, la simplicité et la conformité. Ces outils transforment la gestion immobilière en une expérience fluide, centralisée et automatisée.

Fonctionnalités Clés des Solutions de Gestion Multi-Biens Performantes

Tableau de bord centralisé et reporting avancé

Un tableau de bord centralisé est la pierre angulaire de toute solution gestion multi-biens performante. Il offre une visualisation claire des flux financiers, des échéances et des alertes prioritaires. Grâce à des rapports personnalisés, il devient facile d’analyser la rentabilité ou la vacance locative. Pour approfondir la mise en place et l’optimisation de ces outils, le guide sur le tableau de bord propriétaire fournit des conseils pratiques adaptés à tous profils d’investisseurs.

  • Synthèse des flux et échéances
  • Rapports automatisés et exportables
  • Analyse en temps réel

Un bon tableau de bord offre un accès rapide à l’essentiel, tout en permettant une gestion proactive.

Gestion automatisée des loyers et des charges

La gestion automatisée des loyers et des charges réduit drastiquement les risques d’impayés et les oublis. Une solution gestion multi-biens efficace permet l’encaissement automatique, la génération de quittances, et l’envoi de relances sans intervention manuelle. Les utilisateurs peuvent suivre en temps réel l’état des paiements.

  • Relances automatiques personnalisées
  • Historique des paiements détaillé
  • Suivi des charges réparties par bien

Cette automatisation libère un temps précieux et sécurise la trésorerie du portefeuille.

Suivi comptable et fiscal simplifié

Un suivi comptable et fiscal optimisé fait partie des fonctionnalités phares d’une solution gestion multi-biens moderne. La génération automatique des bilans et liasses fiscales, ainsi que l’intégration directe avec les obligations SCI ou LMNP, permettent d’éviter les erreurs et d’assurer la conformité.

  • Bilans et rapports fiscaux générés automatiquement
  • Synchronisation avec les obligations réglementaires
  • Archivage sécurisé des pièces justificatives

La simplicité du suivi comptable favorise une gestion sereine et une anticipation des échéances fiscales.

Gestion documentaire intelligente

La gestion documentaire intelligente centralise tous les documents liés à chaque bien. Une solution gestion multi-biens avancée propose un stockage illimité, une recherche rapide et la génération automatique de contrats, mandats SEPA ou états des lieux. Les documents sont accessibles à tout moment, depuis n’importe quel support.

  • Classement automatique par typologie de document
  • Archivage sécurisé et partage facilité
  • Génération de modèles personnalisés

Un accès rapide et fiable aux documents réduit les risques de perte ou d’oubli.

Gestion multi-utilisateurs et délégation

La possibilité de gérer plusieurs utilisateurs est essentielle pour les investisseurs travaillant en équipe. Une solution gestion multi-biens performante offre des accès différenciés pour associés, gestionnaires ou experts-comptables, tout en assurant la traçabilité des actions.

  • Attribution de rôles spécifiques
  • Historique des modifications
  • Collaboration en temps réel

Cette fonctionnalité permet une gestion collaborative et une délégation maîtrisée des tâches.

Alertes et notifications personnalisables

La personnalisation des alertes est un atout majeur pour anticiper les échéances et éviter les pénalités. Une solution gestion multi-biens propose des rappels pour loyers, travaux, ou renouvellements de contrats. Les notifications sont adaptées au profil de chaque utilisateur.

  • Rappels automatiques par email ou SMS
  • Notifications sur échéances critiques
  • Programmation d’alertes sur mesure

Ces outils préviennent les oublis et renforcent la réactivité des investisseurs.

Intégration avec d’autres outils digitaux

L’intégration avec des outils externes optimise la gestion globale. Une solution gestion multi-biens moderne permet d’exporter les données comptables, de synchroniser avec des CRM ou plateformes fiscales, et de connecter ses comptes bancaires pour une vision consolidée.

  • Export vers logiciels de comptabilité
  • Synchronisation bancaire en temps réel
  • Connexion avec plateformes fiscales

Cette interopérabilité simplifie le pilotage et accélère la prise de décision.


Étapes Chronologiques pour Déployer une Solution de Gestion Multi-Biens

Déployer une solution gestion multi-biens performante implique une approche structurée. Suivre un processus chronologique garantit la réussite du projet et une adoption optimale par toutes les parties prenantes.

Étapes Chronologiques pour Déployer une Solution de Gestion Multi-Biens

Évaluation des besoins et audit du portefeuille

La première étape du déploiement d’une solution gestion multi-biens consiste à réaliser un audit précis de votre portefeuille immobilier. Il s’agit d’identifier le nombre de biens, leur typologie (logements, locaux commerciaux), les processus actuellement en place et les points de friction rencontrés.

Un diagnostic efficace permet de repérer les besoins spécifiques, comme la gestion des échéances ou la centralisation documentaire. À ce stade, il est judicieux de consulter des ressources complémentaires, telles que le Guide complet de gestion de biens locatifs, pour structurer votre démarche et anticiper les enjeux.

Dressez un état des lieux clair de vos outils actuels, de vos contraintes réglementaires et des attentes des utilisateurs impliqués dans la gestion.

Sélection de la solution adaptée

Après l’audit, la sélection de la solution gestion multi-biens la mieux adaptée à vos objectifs s’impose. Comparez les principales plateformes du marché selon des critères personnalisés : compatibilité avec vos typologies de biens, fonctionnalités d’automatisation, sécurité des données et évolutivité.

Privilégiez une solution gestion multi-biens qui offre une interface intuitive, un support client réactif et des références solides auprès d’investisseurs similaires au vôtre. N’hésitez pas à tester plusieurs démonstrations ou versions d’essai pour valider la prise en main.

Un tableau comparatif peut vous aider à visualiser rapidement les forces et faiblesses de chaque option.

Migration et centralisation des données

La migration des données est une étape délicate du déploiement d’une solution gestion multi-biens. Il convient d’importer les historiques locatifs, bancaires et contractuels, tout en nettoyant les informations obsolètes ou redondantes.

Structurez vos données pour faciliter la recherche et la gestion future. Profitez de cette phase pour centraliser tous les documents importants et paramétrer les accès utilisateurs selon leur rôle.

Un accompagnement technique proposé par l’éditeur de la solution gestion multi-biens peut grandement sécuriser cette transition.

Paramétrage des automatisations et des alertes

Le paramétrage des automatismes est essentiel pour tirer parti de votre solution gestion multi-biens. Configurez les encaissements de loyers, les relances automatiques, la gestion des échéances et la génération des documents fiscaux.

Adaptez les workflows à vos processus internes : qui valide quoi, à quel moment ? Programmez des alertes personnalisées pour ne rien oublier, que ce soit pour des travaux à prévoir ou des échéances fiscales.

Une gestion automatisée réduit considérablement les risques d’erreur et optimise la réactivité de votre organisation.

Formation et accompagnement des utilisateurs

La réussite de votre solution gestion multi-biens dépend de l’appropriation par tous ses utilisateurs. Prévoyez des sessions de formation, des guides d’utilisation et un accès à des ressources pédagogiques variées (webinaires, FAQ, tutoriels).

Assurez un suivi régulier des équipes ou associés pour répondre à leurs questions et lever d’éventuels blocages. Une montée en compétence progressive garantit une exploitation optimale des fonctionnalités de la solution gestion multi-biens.

Un support client disponible et compétent constitue un atout majeur pendant cette phase.

Suivi, reporting et optimisation continue

Enfin, le suivi et l’optimisation continue sont indispensables pour pérenniser votre solution gestion multi-biens. Analysez régulièrement les indicateurs de performance : taux de vacance, rentabilité, délais de paiement.

Ajustez les paramétrages en fonction de l’évolution de votre portefeuille ou des obligations réglementaires. Utilisez les outils de reporting pour piloter efficacement votre stratégie et anticiper les besoins futurs.

Ce cycle d’amélioration continue maximisera la valeur ajoutée de votre solution gestion multi-biens, tout en sécurisant votre gestion sur le long terme.


[Tomappart : La Solution Française 100% Digitale pour la Gestion Multi-Biens] (https://tomappart.com)

Gérer un portefeuille immobilier diversifié en 2025 requiert une solution gestion multi-biens fiable et innovante. Tomappart s’impose aujourd’hui comme la référence française pour les investisseurs, qu’ils soient particuliers, SCI ou LMNP. Son approche 100% digitale répond aux exigences de modernité et d’efficacité recherchées par les gestionnaires de biens.

La force de Tomappart réside dans la centralisation de toutes les données et opérations sur un tableau de bord unique. Cette solution gestion multi-biens permet de suivre en temps réel les loyers, échéances, contrats et documents depuis n’importe quel appareil. Grâce à l’automatisation intelligente, chaque étape administrative est simplifiée, du suivi bancaire à la génération des quittances.

Tomappart propose une palette de fonctionnalités clés qui font la différence sur le marché. Parmi elles, la synchronisation bancaire sécurisée et la gestion illimitée des biens et locataires garantissent une expérience fluide. La solution gestion multi-biens intègre également la génération automatique de mandats SEPA et de documents comptables, offrant ainsi un pilotage optimal du portefeuille.

La conformité réglementaire et la sécurité des données sont au cœur de l’offre Tomappart. Cette solution gestion multi-biens est conçue pour accompagner les investisseurs dans le respect des normes fiscales et légales, tout en réduisant les risques liés aux erreurs manuelles. L’autonomie ainsi obtenue permet de se passer d’un expert-comptable, sans compromis sur la fiabilité.

Tomappart séduit autant les débutants que les investisseurs aguerris grâce à une interface intuitive et un accompagnement client de qualité. Des ressources pédagogiques, des tutoriels et un support réactif facilitent la prise en main de la plateforme et permettent à chacun d’optimiser la gestion de ses biens.

Côté tarification, Tomappart mise sur la transparence et la flexibilité. L’offre sans engagement et la gratuité proposée pour l’année 2025 rendent la solution accessible à tous, quelle que soit la taille du portefeuille immobilier. Cette politique favorise l’expérimentation sans risque pour les nouveaux utilisateurs.

Les retours d’expérience des clients témoignent de la capacité de Tomappart à accompagner la croissance des portefeuilles. Pour comparer Tomappart aux autres outils adaptés aux SCI, consultez ce comparatif des 7 meilleurs logiciels de gestion locative SCI. Adopter Tomappart, c’est choisir la performance, la simplicité et la sérénité pour la gestion immobilière de demain.


Tendances et Innovations à Suivre en Gestion Multi-Biens pour 2025

L’année 2025 marque un tournant décisif pour toute solution gestion multi-biens. Les évolutions technologiques et réglementaires redessinent les pratiques, imposant aux investisseurs et gestionnaires d’adopter les innovations les plus récentes. Selon l’analyse de la FNAIM sur le marché immobilier ancien, la stabilisation des volumes de transactions s’accompagne d’une transformation profonde des outils de gestion, rendant indispensable la veille sur les tendances majeures.

Intelligence artificielle et automatisation avancée

L’intégration de l’intelligence artificielle dans une solution gestion multi-biens optimise la prédiction des risques d’impayés et l’analyse dynamique de la rentabilité. Les plateformes exploitent désormais :

  • Analyse prédictive des comportements locataires
  • Automatisation des relances et des avis d’échéances
  • Recommandations en temps réel pour arbitrer ou réinvestir

Ces avancées permettent une gestion proactive, limitant les incidents tout en maximisant les performances du portefeuille.

Digitalisation des démarches administratives

La dématérialisation complète des processus administratifs simplifie la gestion multi-biens. Les solutions intègrent la signature électronique, l’archivage numérique sécurisé et la génération automatique de contrats. Ce virage digital :

  • Réduit drastiquement les délais de traitement
  • Limite les erreurs humaines
  • Facilite les contrôles et audits

La digitalisation offre ainsi une réactivité inégalée, essentielle pour répondre aux exigences des investisseurs modernes.

Sécurité renforcée et conformité réglementaire

La sécurité des données et la conformité deviennent des enjeux centraux pour toute solution gestion multi-biens. Les outils de 2025 assurent :

  • Respect strict des normes RGPD
  • Chiffrement avancé des données sensibles
  • Archivage sécurisé et traçabilité des accès

La conformité réglementaire, souvent renforcée par des audits réguliers, protège les investisseurs contre les risques de sanctions et renforce la confiance des utilisateurs.

Interopérabilité et écosystèmes ouverts

L’interconnexion avec d’autres outils digitaux est un critère clé d’efficacité. Les nouvelles solutions favorisent :

  • Synchronisation bancaire instantanée
  • Export vers des logiciels comptables ou CRM
  • Connexion avec des plateformes fiscales

Cette ouverture facilite le pilotage global et l’automatisation des flux, rendant la gestion multi-biens plus fluide et centralisée.

L’expérience utilisateur au cœur des innovations

L’ergonomie et la personnalisation des interfaces sont désormais au centre du développement de toute solution gestion multi-biens. Les tendances 2025 mettent l’accent sur :

  • Tableaux de bord intuitifs et modulables
  • Assistance intelligente et tutoriels interactifs
  • Adaptation aux profils débutants comme experts

Selon l’étude de Lodgis sur la demande en location meublée, l’essor des attentes utilisateurs pousse les éditeurs à proposer des expériences toujours plus fluides et personnalisées.

Émergence de nouveaux modèles économiques

La solution gestion multi-biens évolue aussi par ses modèles d’abonnement flexibles et sa tarification à l’usage. On observe :

  • Offres freemium pour tester les fonctionnalités
  • Paiement à la transaction pour les petits portefeuilles
  • Abonnements évolutifs selon la taille du parc

Ces innovations favorisent l’accessibilité à tous les profils d’investisseurs, démocratisant la gestion multi-biens performante.

Il est temps de passer à l'action et d'exploiter votre potentiel.

Gérez vos biens en toute autonomie grâce à une application pensée pour vous : débutant ou expert, profitez d'une solution intuitive, performante et 100 % digitale.

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Quel bail pour quelle location ?

Il existe plusieurs types de contrats locatifs parmi lesquelles l'investisseur en LMNP pourra faire un choix en fonction de ses besoins et de la localisation du bien acquis.

 

Location meublée longue 

Ce type de bail s’adresse aux locataires qui comptent louer votre bien en résidence principale. La durée de location prévue dans ce cas est de 12 mois. Si aucune des parties n’a donné congé, à l’expiration du bail, le contrat est reconduit tacitement pour un an. Pour des étudiants, le bail sera quant à lui d’une durée de 9 mois. Il faudra veiller à anticiper la vacance locative pour ne pas fausser le calcul votre taux de rentabilité (l’application gratuite Rent'Immo calcule en quelques secondes votre taux de rentabilité en tenant compte de tous les facteurs nécessaires : AppStore ou GooglePlay).

Depuis le 1er août 2015, les contrats de location à titre de résidence principale pour des logements meublés, éventuellement loués en colocation (uniquement s’il s’agit d’un contrat unique), doivent être conformes au bail type défini par le décret du 29 mai 2015.

Le bail type contient les clauses essentielles et obligatoires qui doivent être insérées dans le contrat de location que nous vous énumérons ci-après.

Contenu du bail type

Clauses obligatoires

Certaines clauses doivent être mentionnées dans le bail :

  • le nom et l'adresse du propriétaire et de son mandataire éventuel,
  • le nom et la dénomination du locataire,
  • la date à partir de laquelle le locataire dispose du logement,
  • la durée de location,
  • la description du logement et de ses annexes (cave, garage, jardin ou autres) ainsi que la surface habitable,
  • la liste des équipements d’accès aux technologies de l’information et de la communication,
  • l'énumération des parties communes,
  • la destination du local loué (habitation ou usage mixte d'habitation et professionnel),
  • le montant et les termes de paiement du loyer ainsi que les conditions de sa révision éventuelle,
  • le montant et la date du dernier loyer acquitté par le précédent locataire (s’il a quitté le logement il y a moins de 18 mois),
  • le montant du dépôt de garantie, si celui-ci est prévu (limité à deux mois de loyer sans les charges non révisable). Si le loyer est payable par trimestre, le propriétaire ne peut pas demander de dépôt de garantie,
  • la nature et le montant des travaux effectués dans le logement depuis la fin de la dernière location.

Dans les zones tendues, où un encadrement de l’évolution des loyers s’applique, le bail doit mentionner : 

  • le loyer du précédent locataire,
  • la date de son dernier versement et de sa dernière révision.

En complément, dans les zones d'encadrement expérimental des loyers, les baux doivent mentionner :

  • le loyer de référence et le loyer de référence majoré (correspondant à la catégorie de logement dans le secteur),
  • les éléments justifiant un éventuel complément de loyer.

Lorsque le bail est conclu avec le concours d’une personne mandatée et rémunérée, il doit mentionner, à peine de nullité :

  • les dispositions légales (les trois premiers alinéas du paragraphe I de l’article 5 de la loi du 6 juillet 1989),
  • les montants maximum de la rémunération du professionnel pouvant être à la charge du locataire.

Clauses interdites

Certaines clauses sont interdites. Même si elles figurent dans le contrat, elles sont considérées comme nulles et non écrites. C'est notamment le cas de toute clause qui :

  • impose au locataire la souscription d'une assurance habitation auprès d'une compagnie choisie par le propriétaire,
  • oblige le locataire, en vue de la vente ou de la location du logement, à laisser visiter le logement les jours fériés ou plus de deux heures par jour les jours ouvrables,
  • impose comme mode de paiement du loyer le prélèvement automatique,
  • prévoit la responsabilité collective des locataires en cas de dégradation des parties communes de l'immeuble,
  • prévoit la résiliation de plein droit du bail pour d'autres motifs que le non-paiement du loyer, des charges, du dépôt de garantie, ou la non-souscription d'une assurance des risques locatifs,
  • interdit au locataire l'exercice d'une activité politique, syndicale, associative ou confessionnelle,
  • interdit au locataire d'héberger des personnes ne vivant pas habituellement avec lui,
  • impose au locataire des frais de relance ou d'expédition de la quittance,
  • prévoit que le locataire est automatiquement responsable des dégradations constatées dans le logement,
  • impose au locataire de souscrire un contrat de location d’équipements,
  • prévoit des pénalités en cas de manquement du locataire aux clauses du contrat ou au règlement intérieur de l’immeuble,
  • interdit au locataire de demander une indemnité en cas de travaux d’une durée supérieure à 21 jours

Dépôt de garantie

Le montant du dépôt de garantie qui peut être demandé par le bailleur est limité à deux mois de loyer en principal.

Cautionnement

Le propriétaire peut demander la caution d'un tiers (notamment la garantie Visale), si c'est un particulier ou une société civile familiale et s'il n’a pas souscrit une assurance ou une garantie couvrant les risques d'impayés. 

Si le locataire est étudiant ou apprenti, le propriétaire, quel qu'il soit, est autorisé à cumuler les garanties (cautionnement et assurance). 

La personne physique signe l'acte de cautionnement. Ce dernier doit faire apparaître les informations suivantes :

  • le montant du loyer et les conditions de sa révision en chiffres et en lettres,
  • une mention exprimant clairement qu'elle a connaissance de la nature et de l’étendue de son engagement,
  • l'article 22-1 de la loi du 6 juillet 1989 (alinéa 6) ; « Lorsque le cautionnement d'obligations résultant d'un contrat de location conclu en application du présent titre ne comporte aucune indication de durée ou lorsque la durée du cautionnement est stipulée indéterminée, la caution peut le résilier unilatéralement. La résiliation prend effet au terme du contrat de location, qu'il s'agisse du contrat initial ou d'un contrat reconduit ou renouvelé, au cours duquel le bailleur reçoit notification de la résiliation. »
     

Pour rédiger votre bail vous pouvez vous appuyer sur le modèle en ligne disponible sur le site du Service Public.

Documents à joindre au bail

La notice d’information

Pour les baux conclus depuis le 1er août 2015, une notice d’information relative aux droits et aux obligations des locataires et des bailleurs, ainsi qu’aux voies de conciliation et de recours qui leur sont ouvertes pour régler leurs litiges, doit être annexée au bail (arrêté du 29.5.15).

L'état des lieux

Il s'agit d'un document important qui décrit l'état du logement. Il doit être établi de manière très précise dans la mesure où c'est en comparant l'état des lieux dressé à l'arrivée et à la sortie du locataire que le propriétaire pourra demander la réparation de certains éléments détériorés ou refuser le retour de la caution pour le faire lui-même.

Le locataire et le propriétaire doivent ensemble constater par écrit l'état des lieux, lors de la remise des clés et au moment de leur restitution. Ils peuvent éventuellement faire appel à un professionnel pour sa rédaction. Dans ce cas, pour l'état des lieux d'entrée uniquement, une part des frais peut être à la charge du locataire. Le montant demandé au locataire ne peut pas excéder un plafond réglementaire et ne peut être supérieur à celui du propriétaire. Pour être valable, l'état des lieux doit être signé par les deux parties. Pour l’établissement de l’état des lieux de sortie, aucun frais ne peut être mis à la charge du locataire sauf en cas de désaccord et de recours à un commissaire de justice.

Si l'une des parties refuse de dresser un état des lieux contradictoire, l'autre peut faire appel à un commissaire de justice. Le coût de l’intervention est alors partagé entre le locataire et le propriétaire.

À l’entrée dans le logement, le locataire peut demander à compléter l'état des lieux dans un délai de dix jours. Pour l’état des éléments de chauffage, ce complément peut intervenir pendant le premier mois de la période de chauffe.

Vous pouvez accéder à tous les modèles de baux disponibles ici.

L’inventaire et l’état détaillé du mobilier

Ces documents signés par les parties sont joints au contrat. Ils listent les meubles mis à la disposition du locataire et en décrit l'état. Il doit être le plus précis possible. Il permettra au propriétaire de prouver que les meubles en question sont sa propriété. Il permettra au locataire d'exiger le bon fonctionnement des éléments d'équipement qui lui ont été fournis en état de marche. Le propriétaire pourra, au départ du locataire, lui demander réparation si certains meubles ont été détériorés.

L’attestation d’assurance

L'attestation d'assurance contre les risques locatifs doit être transmise au bailleur lors de la souscription du contrat et chaque année.

Le dossier de diagnostic technique

Il comprend :

  • le diagnostic de performance énergétique,
  • le constat de risque d'exposition au plomb,
  • l'état des risques et pollutions,
  • l'état relatif à l’amiante (applicable selon les modalités du décret à paraître),
  • l'état de l’installation intérieure d’électricité et de gaz de plus de 15 ans (depuis le 1er juillet 2017 pour les immeubles collectifs dont le permis de construire a été délivré avant le 1er juillet 1975 et depuis le 1er janvier 2018 pour les autres immeubles),
  • l'information relative au plan d'exposition au bruit des aérodromes (depuis le 1er juillet 2020, si le logement est situé dans une zone de bruit définie par un Plan d'exposition au bruit).

Les documents de copropriété

Si l'immeuble est en copropriété, le bailleur doit transmettre au locataire les extraits du règlement de copropriété concernant la destination de l'immeuble, la jouissance et l'usage des parties privatives et communes, ainsi que le nombre de millièmes que représente le logement dans chaque catégorie de charges.

 

Location saisonnière

Il existe également un autre type de bail dit de "mobilité", dont la durée est obligatoirement comprise entre 1 et 6 mois.

Si le bien immobilier est situé dans une zone touristique ou une grande ville, il peut être intéressant de le louer pour de courtes périodes (quelques jours à quelques semaines) à des touristes ou à des voyageurs d'affaires. Les investisseurs locatifs en LMNP peuvent opter pour :

  • un meublé de tourisme ( commercialisé sur Airbnb, Booking, etc.),
  • un gîte rural,
  • une chambre d'hôte. S’il opte pour la location saisonnière, le propriétaire-bailleur doit faire une déclaration spécifique en Mairie et doit généralement collecter la taxe de séjour.

Le contrat de location saisonnière n'est pas obligatoirement un contrat écrit.

Cependant, un contrat écrit permettra de préciser les conditions de location saisonnière et d'occupation des locaux :

  • description et emplacement des locaux,
  • durée de location et d'occupation (6 mois au maximum),
  • paiement du loyer (le paiement peut être exigé en totalité en début de saison),
  • répartition des charges.

Attention, la loi prévoit une réglementation particulière lorsque le bien est situé dans une ville de plus de 200 000 habitants : une autorisation de changement d’usage est nécessaire sauf s'il s'agit de la résidence principale du propriétaire-bailleur, c’est-à-dire qu’il l’occupe 8 mois par an.

 

Le LMNP en résidence-service

Le propriétaire-bailleur qui souhaite défiscaliser peut préférer l'investissement locatif en résidence-service en signant un contrat commercial avec un exploitant.

Les résidence-services sont des immeubles souvent neufs dont les appartements sont livrés équipés. Ils sont proposés à une clientèle spécifique :

  • résidence de tourisme pour la clientèle touristique en court séjour (comme Vinci ou Odalys),
  • résidence sénior (Ehpad), médicalisée ou non, pour les retraités (comme Domitys, ou les Senioriales),
  • résidence d'affaires (du type Citadines) à des voyageurs en déplacement professionnel,
  • studios pour étudiants (comme Réside Etudes, par exemple).

Pour être défini de résidence de service, il faut respecter au minimum trois des quatre critères suivants :

  • entretien du logement,
  • accueil de la clientèle,
  • prise en charge du petit déjeuné,
  • fourniture du linge de maison.

Enfin, la résidence doit être exploitée par un gestionnaire, il va prendre en charge toutes les prestations de service. Il vous garantira également votre loyer via un bail commercial et prendra à sa charge la recherche du locataire, la rédaction du bail, la rédaction de l’état des lieux, la relation avec le locataire.

Cela vous permet de connaître parfaitement la rentabilité de votre bien et de déléguer sa gestion. Toutes ces prestations ainsi que la garantie de loyer représentent un coût qui diminuera de ce fait la rentabilité de votre investissement.

Néanmoins, il faut connaître les potentiels risques de ce type de gestion. En effet, que se passe-t-il si le gestionnaire ne parvient pas à louer les appartements ? Les difficultés du gestionnaire sont souvent répercutées sur l’investisseur avec une renégociation du loyer à la baisse et surtout une revente difficile.

Par conséquent, même si le bail commercial procure une certaine garantie, il est impératif de se montrer très sélectif sur l’emplacement de la résidence. Une bonne localisation permet une location facile pour le gestionnaire, qui pourra ainsi assurer le versement des loyers sans difficulté.

Dans le cas où vous auriez une question spécifique dans le cadre de la mise en location de votre bien meublé, vous pouvez vous adressez à l’ADIL.
Les missions des ADIL couvrent notamment les services au public, le conseil d’ordre juridique, financier et fiscal et dispose notamment d’un rôle de sensibilisation et de formation.

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Quels sont les taxes à payer en LMNP ?

Un loueur en meublé professionnel (LMP) ou non professionnel (LMNP) doit s’acquitter, dans le cadre de son activité, de trois taxes perçues au profit des collectivités territoriales : la taxe foncière, la cotisation foncière des entreprises et dans certains cas, la taxe d'habitation. Malheureusement, avoir une LMNP ne se limite pas à la redevance de ces trois taxes seulement. En on compte au total 7 (8 si vous faites de la location saisonnière). Découvrez dans cet article ces trois taxes, leurs modalités de règlement ainsi que l'avantage du régime réel simplifié qui permet de déduire ces taxes des recettes perçues !

Les LMNP (locations meublées non professionnelles) sont assujetties à plusieurs taxes (en grande partie déductibles des impôts si vous choisissez le régime réel simplifié) :

  • la taxe foncière, un impôt local payable annuellement par le propriétaire du bien meublé,
  • la CFE (Cotisation Foncière des Entreprises) annuelle, un impôt local qui a remplacé la taxe professionnelle, avec dans la plupart des cas une exonération pour la première année d'activité,
  • la taxe d'habitation pour les propriétaires qui louent leur résidence secondaire de temps en temps ou un bien en location meublée saisonnière, si aucun mandat de gestion par le biais d'une agence n'a été mis en place. Si vous payez déjà la CFE pour votre logement meublé vous en êtes exonéré sauf si celui-ci ne constitue pas votre habitation personnelle et/ou si le logement est vide de locataire au 1er janvier,
  • la TVA, l'impôt sur la consommation, dont les LMNP sont la plupart du temps exonérés, sauf si le propriétaire a signé un bail avec un exploitant de résidence-services.

La CFE et la taxe foncière sont par exemple déductibles de vos revenus de location meublés si vous choisissez le réel simplifié, profitez dès la création de votre entreprise de cet avantage fiscal en choisissant le régime fiscal qui conviendra le mieux !

 

La Taxe Foncière

La taxe foncière est un impôt local dû tous les ans par le propriétaire du bien ou l'usufruitier du logement loué meublé, au 1er janvier de l'année. Elle est calculée en fonction de la valeur locative établie par la collectivité territoriale et n'est pas récupérable auprès du locataire.  

La taxe d'enlèvement des ordures ménagères, qui va de pair avec la taxe foncière, peut l'être, en l'intégrant aux charges locatives.

Modalités de règlement et échéances :
Dans votre espace particulier, votre avis sera disponible fin août pour les personnes non mensualisées et à partir de mi-septembre pour les personnes mensualisées. Au format papier, l'avis est distribué entre septembre et octobre, en fonction du choix d'adhérer au prélèvement mensuel ou pas.

Date limite de paiement par courrier : 15 octobre
Date limite de paiement en ligne : 20 octobre

À noter : 
L’exonération de 2 ans, pour les constructions nouvelles, édictée par
l’Article 1383 de Code Général des Impôts, est maintenue pour le loueur en meublé. Pour bénéficier de cette exonération temporaire il faut produire un imprimé fiscal à l'administration fiscale, dans un délai de 90 jours à compter de l'achèvement de la construction nouvelle.

 

La Cotisation Foncière des Entreprises (CFE)

La Contribution Économique Territoriale (CET) se compose de la Contribution sur la Valeur Ajoutée des Entreprises et de La fait partie, avec la Contribution sur la Valeur Ajoutée des Entreprises, de la Contribution Économique Territoriale (CET). 

La CFE est un impôt local destiné à remplacer la taxe professionnelle.  

Les LMNP en sont redevables, chaque année pour l'année civile entière par le loueur en meublée non professionnel qui exerce l'activité au 1er janvier (qu'ils soient imposés au régime micro-BIC ou au régime Réel). 

Modalités de règlement et échéances :  
La CFE se paie par virement sur le site impots.gouv.fr avant le 15 décembre de l'année ou par prélèvement annuel fin décembre (adhésion avant le 30 novembre).  

Pour la première année d'activité de location meublée, les loueurs en meublé sont exonérés de cette taxe (sauf si début d'activité le 01/01 de l'année). Elle peut remplacer le paiement de la taxe d'habitation dans le cas où vous, le propriétaire, en seriez redevable.

Date limite de paiement en ligne par virement : 15 décembre

À noter :
La loi de finances a prévu l'exonération de cotisation minimum de CFE à partir de 2019 pour tous les contribuables dont les recettes locatives seraient inférieures ou égales à 5 000 €. À l’inverse, s’ils réalisent un chiffre d’affaires hors taxes supérieur à 152 500 euros et qu’ils sont soumis à la CFE dans les conditions de droit commun, les loueurs en meublés sont assujettis à la CVAE. Si vous êtes éligible à cette taxe, n’oubliez pas de souscrire à la déclaration n°1330-CVAE (par voie dématérialisée depuis votre espace sur le site des  impôts) ou de servir le cadre CVAE du tableau 2033-E ou 2059-E (pour certains loueurs mono-établissement) de votre liasse fiscale.

 

La taxe d'habitation en LMNP et LMP

La taxe d'habitation sur la résidence principale a été supprimée pour tous depuis le 01 janvier 2023.  

Elle est maintenue pour les personnes occupant un bien immobilier (local meublé affecté à l'habitation) au 1er janvier de l'année et qui n'est pas destinée à la résidence principale.

Qui doit payer la taxe d'habitation sur la résidence secondaire ?

Le propriétaire qui loue un bien en location meublée saisonnière sera redevable de la taxe d'habitation, s'il n'a pas mis en place un mandat de gestion par le biais d'une agence.

En cas d'absence de locataire au 1er janvier, le propriétaire devra prouver à l'administration que le bien était bien disponible à la location, qu'il n'y avait pas de locataire à cette date et qu'il n'avait pas l'intention de l'utiliser à titre personnel. Seule la mise en place d'un mandat de gestion avec une agence de gestion locative constituera une preuve suffisante vis-à-vis de l'Administration fiscale.  

Exonération de la taxe d'habitation

Si vous payez déjà la CFE (pour le bien), vous êtes normalement exonéré de la taxe d'habitation pour ce bien en vertu de l'article 1407 II du Code Général des Impôts, tant que celui-ci ne constitue pas votre habitation personnelle. 
Cependant, si le propriétaire met le bien à sa disposition au cours de l'année, il pourra être redevable de la taxe d'habitation si aucun locataire n'est présent dans le logement au 1er janvier.

Modalités de règlement de la taxe d'habitation et échéances :

Date limite d'adhésion au prélèvement à échéance : 30 novembre

Date limite de paiement par courrier : 15 novembre

Date limite de paiement en ligne : 20 novembre

 

La taxe sur la valeur ajoutée : TVA

La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) est un impôt sur la consommation. En principe, les loueurs en meublés ne sont pas assujettis à la TVA.

En revanche, cette exonération ne s’applique pas dès lors que l’activité devient professionnelle. Il est possible que vous soyez assujettis si le logement loué se trouve dans une résidence de tourisme, étudiante ou senior, et qu’il y a un bail commercial entre le loueur et l’exploitant du bien (plus d’informations sur le site des impôts)

La TVA due est calculée en N+1 lors de l’établissement de la liasse fiscale de l'année N, et doit être liquidée la première semaine du mois de mai N+1.

Le calcul de la TVA peut faire également ressortir un crédit, qui pourra être remboursé ou non par l’état.

 

L’impôt sur le revenu

Les impôts sur le revenu sont des impôts qui concernent les revenus, les bénéfices et les gains en capital. Vos revenus locatifs sont évidemment soumis à l’impôt sur le revenu. Ils sont établis sur les revenus effectifs ou présumés des personnes physiques, ménages, sociétés et institutions sans but lucratif au service des ménages.

Sous condition que l’activité soit bénéficiaire sur l’année, il y a un impôt sur le revenu à payer, que l’exploitant soit un LMNP ou un LMP.

Ce dernier sera soumis au taux marginal d’impôt du foyer fiscal.

Concernant le paiement, le prélèvement à la source ne se faisant que sur les traitements et salaires, il n’est pas possible d’être prélevé à la source pour cette activité. En revanche, il est possible sur l’espace personnel impôts.gouv d’anticiper l’impôt sur le revenu via des acomptes, en créant un acompte en fonction du bénéfice mensuel de votre activité. L’espace calculera alors automatiquement l’impôt à payer par mois.

Vos recettes issues de la location meublée ne seront par contre pas imposées, si vous louez une partie de votre habitation à la chambre et que vous êtes dans une des deux situations suivantes :

  • les recettes brutes annuelles ne dépassent pas 760 € TTC,
  • vous louez à des loyers modérés

Pour plus d’information sur cette exonération (peu connue), vous pouvez consulter le site officiel des impôts.

 

Les prélèvements sociaux : exclusivement pour les LMNP

Les prélèvements sociaux sont des taxes obligatoirement perçues sur certains revenus encaissés par les personnes domiciliées en France ou hors de France. Sous condition que l’activité soit bénéficiaire sur l’année, Vos revenus issus de la location meublée seront également soumis aux prélèvements sociaux, en plus de l’impôt sur le revenu.

Ces derniers sont soumis à un taux global de 17,2 % sur le bénéfice de l’activité. En voici la décomposition :

  • contribution sociale généralisée (CSG) à hauteur de 9,9%,
  • prélèvement de solidarité à hauteur de 2%,
  • prélèvement social à hauteur de 4,5%,
  • contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS) à hauteur de 0.5%,
  • prélèvement social à hauteur de 4,5%,
  • contribution additionnelle à hauteur de 0,3%,
  • prélèvement de solidarité à hauteur de 2%.

De la même façon que l’impôt sur le revenu, lorsqu’on rentre le bénéfice mensuel de l’activité, l’acompte pour les prélèvements sociaux se créé.

 

Les cotisations sociales : exclusivement pour les LMP

Les cotisations sont dues par tout loueur en meublé professionnel. Elles sont calculées en fonction du bénéfice dégagée par l’activité, et une cotisation de 1 145 € minimale est due, même si l’activité est en déficit.

Le calcul des cotisations se fait lors de l’établissement de la liasse fiscale de l’année, les provisions de ces cotisations sont incluses dans l’établissement de la liasse.

 

Les droits SACEM : exclusivement pour la location saisonnière

Les propriétaires de gîtes, chambres d'hôtes et résidences secondaires mettant leurs biens en location saisonnière doivent désormais payer la SACEM (droits d'auteur à la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique), et ce quelle que soit la plateforme (Airbnb, Abritel, Booking...) utilisée par le loueur.

À titre d'information, les droits d’auteur ne sont ni un impôt, ni une taxe, il s'agit d'une rémunération collectée par la SACEM pour l’auteur, ou le compositeur qui ne perçoivent pas de salaire pour leur travail de création.

La Sacem demande aux propriétaires de locations saisonnières de payer la somme de 223,97 € TTC « s'ils mettent une télévision, une radio, un lecteur CD... à disposition de leurs clients afin de rendre leur séjour plus agréable ». Il s'agit du montant de la redevance fixe pour les hébergements de tourisme. Ce forfait de droits est entièrement déductible des recettes de location meublée.

Si vous êtes concernés par le paiement de ce forfait de droits d'auteur, la Sacem vous a peut-être déjà contacté directement. Si ce n'est pas le cas, vous pouvez aussi vous rendre directement sur leur site afin de vous déclarer et ainsi bénéficier d'une réduction de 20% sur le forfait de 223,97€.

Bon à savoir
Bien que ces taxes puissent alerter les loueurs en meublé, il faut savoir que la plupart sont déductibles des recettes issues de la location si le propriétaire a choisi le régime réel simplifié pour déclarer ses revenus de location meublée. En effet, c'est le cas notamment pour la CFE, la taxe foncière et les cotisations sociales (valables uniquement pour les LMP).

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Comment calculer un rendement immobilier

L’investissement immobilier fait partie des investissements préférés des Français. L’immobilier est considéré par beaucoup comme un investissement sécurisé (en France) malgré les différentes crises économiques que nous avons connues.
Cependant, il est important de pouvoir calculer un rendement immobilier au plus proche de la réalité pour éviter les mauvaises surprises. Voyons dans cet article comment le calculer.


Les motivations

Peu importe l’investissement dans lequel vous vous lancez, il est important de se décider en toute connaissance de cause. Il s’agira donc de déterminer avec le plus de précision possible : ses dépenses, ses recettes, ses risques et voire même ses contraintes.

Il ne faut pas oublier que tout investissement correspond à un risque et il est naturel de chercher à minimiser le risque au maximum. En ce qui concerne l’investissement immobilier, le moyen connu pour minimiser les risques, c’est de calculer le rendement d’un investissement potentiel.

Admettons que vous avez le bien qui correspond à votre projet d’investissement locatif, avant de s’engager dans un achat, il faudra s’assurer du taux de rentabilité de ce dernier. Pour ce faire, Il sera nécessaire de commencer par calculer son coût global d’acquisition, puis estimer le chiffre d’affaire annuel (la recette de ce dernier). Par la suite, on calculera les charges annuelles. Cette succession d’étape nous permettra de calculer le rendement brut du bien, puis son rendement net. Enfin, nous pourrons calculer le cashflow, c’est-à-dire la trésorerie qu’il resterait.

 

Le coût d’acquisition

Il est relativement simple à calculer en fonction du type de bien que vous projetiez d’acquérir. Généralement il s’agit du coût du bien en lui-même, le coût des travaux le cas échéant et les frais de notaires associés. Si le bien sera loué en meublé, on pourra y ajouter les achats des différents mobiliers.

On peut résumer le coût global d’acquisition par :

Coût global = prix du bien + honoraires notaire + coût des travaux + coût des mobiliers

Le coût d’acquisition n’est pas un indicateur en lui-même, mais il est important de noter qu’il sera supérieur au coût négocié avec le propriétaire vendeur. En effet, on estime en moyenne que le coût global d’acquisition est entre 10% à 15% plus élevé que le montant du bien. Il est donc à prendre en compte lors de vos négociations.

 

Le chiffre d’affaire

Lorsqu’on propose un bien à la location, le service vendu est généralement unique : la mise à disposition d’un bien en contrepartie. Cela nous facilite grandement le calcul du chiffre d’affaire.

La formule du chiffre d’affaire est la suivante :

Chiffre d’affaire (annuel) = montant du loyer (annuel) x 12

Vous pouvez bien évidemment adapter la formule si vous louez au trimestre, semestre ou à l’année.

 

Rentabilité brute

Le coût d’acquisition du bien ainsi que le chiffre d’affaire annuel nous permettent de calculer la rentabilité d’un bien.

Il s’agit du ratio suivant (qu’on ramènera en pourcentage) :

Rentabilité brute = (C.A. / Coût d’acquisition) * 100

La rentabilité brute est un indicateur très important à prendre en compte lors de votre recherche d’un bien. Elle est le premier indicateur à calculer et vous fera gagner du temps lors de vos recherches. Si le taux de la rentabilité brute calculé est trop faible (<6%), alors il sera préférable de reprendre ses recherches pour se tourner vers un autre bien.

En moyenne, il convient de dire qu’un taux de rentabilité brute situé entre 8% et 12% correspond à un taux intéressant pour investir. Cependant, nous vous déconseillons fortement d’investir dans un bien dont le taux de rentabilité serait inférieur à 6%. En dessous de ce pourcentage, il ne sera pas évident (mais pas impossible) de s’assurer un rendement net intéressant.

 

Les charges annuelles

Pour estimer ses charges annuelles le plus justement possible, il sera important de prévoir des estimations au plus proche de la réalité. Dans le cas contraire, le taux calculé risquerait d'être faussé.

Parmi les charges annuelles, on pourra recenser :

  • Les charges de copropriétés
  • La taxe foncière
  • Les honoraires comptables
  • L’assurance propriétaire non occupant
  • Le montant des intérêts de crédit ainsi que son assurance (s’il y en a un)
  • Le montant des vacances locatives : la vacance locative correspond à une période dans l’année où le bien ne serait pas louer. Par exemple, en LMNP, les vacances d’été peuvent être des vacances locatives car le bien ne sera pas loué par un locataire
  • Les taxes additionnelles

L’ensemble de ces charges nous permettrons d’estimer le montant total des charges relatif à l’acquisition de ce bien. Il s’agit de charges fixes et incompressible.

 

Rentabilité nette

Nous avons désormais toutes les variables pour calculer notre rentabilité nette. Mais avant cela, on peut calculer le profit lié à l’investissement, cela correspond finalement au bénéfice annuel du bien en question :

Bénéfice = C.A. - Charges annuelles

Enfin, nous pouvons calculer notre rentabilité nette :

Rentabilité net = (bénéfices (annuel) / coût d’acquisition) * 100

On considère qu’un investissement immobilier est intéressant si le rendement net est supérieur à 4%. Cependant, certains investisseurs arrivent à avoir des biens immobiliers avec des rendements allant jusqu’à 20% !

 

Cash-flow

Beaucoup d’investisseurs immobiliers se basent également sur le Cash-flow avant d’investir en immobilier. Mais comment se diffère-t-il de la rentabilité nette ?

D’après le Larousse, le Cash-flow désigne la marge brute d’autofinancement. Cela reviendrait à mesurer si le bien peut « s’autofinancer » lui-même ou non.

Le cash-flow ne prend pas en considération le coût d’acquisition, mais seulement les flux de trésorerie sur une année. Il n’a de sens que s’il y a un crédit à rembourser, car le capital du crédit n’est pas une charge en lui-même. Cependant, s’il n’y a pas de crédit, le cash-flow correspond simplement au bénéfice annuel.

La formule à appliquer pour estimer son cash-flow est la suivante :

Cash-flow (annuel) = bénéfices (annuel) - montant du capital du crédit (s’il y en a un)

Note : il est important de prendre en compte que si le cash-flow est négatif, cela signifiera que votre investissement vous fait perdre de l’argent.

 

Exemple

Prenons un exemple concret afin de se faire une idée sur la viabilité d’un investissement immobilier.

Dans notre exemple, nous avons les éléments suivants :

  • Un bien vendu à 137,000 €,
  • Des frais de notaires de 13,015 €,
  • Des travaux estimés à 4,600 €,
  • Un loyer mensuel de 750 €,
  • Des charges de copropriétés mensuelles de 100 €,
  • Une taxe foncière de 500 €
  • Une assurance propriétaire de 150 € à l’année,
  • On considère que c’est via une SCI, donc des honoraires de 800 € (TTC).

Le coût d’acquisition est de :

Coût d’acquisition : 137,000 + 13,015 + 4,600 = 154,615 €

Le chiffre d’affaire annuel est de :

C.A. = 750 * 12 = 9,000 €

La rentabilité brute est donc de :

Rentabilité brute = 9,000 / 154,615 = 5,82 %

5,82% reste tout de même un ratio intéressant, tout dépendra du rendement net.

Les charges correspondent à :

Charges annuelles = (100 * 12) + 500 + 150 + 800 = 2,650 €

Ce qui permet de calculer le bénéfice :

Bénéfice = 9,000 - 2,650 = 6,350 €

Et pour finir, le rendement net :

Rentabilité nette = 6,350 / 154,615 = 4,10 %

Une rentabilité nette à 4,10% est un bon rendement d’investissement. Cela signifie que pour 100€ investi, nous récupérons chaque année 4,10€. Autrement dit, la somme investie dans l'acquisition de ce bien sera rentabilisée au bout de 25 ans (sans prendre en compte le fait que la valeur du bien aura certainement augmenté entre temps).

N’hésitez pas à nous solliciter si vous avez la moindre question au sujet du calcul de la rentabilité du bien qui vous intéresserait, nous sommes là pour vous accompagner.

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Les avantages de la gestion locative en ligne

Quand on est investisseur locatif et qu'on souhaite consacrer son budget principalement à l’acquisition, on se tourne souvent vers la gestion autonome

Mais pas toujours aussi simple à dire qu’à faire car cela implique de nombreuses responsabilités, tels que :

  • gérer les documents en lien avec sa/ses location-s,
  • établir les quittances,
  • vérifier les paiements de loyers,
  • établir les relances que cas échéant,
  • rester à jour dans le calcul de ses encaissements,
  • Organiser ses suivis sur Word/Excel
  • catégoriser ses transactions,
  • garder sa comptabilité à jour,
  • etc.

En réponse à la demande des nouveaux propriétaires bailleurs qui souhaitent optimiser leur rentabilité en gérant eux-mêmes leur activité, le secteur de l’immobilier a, depuis quelques années, évolué progressivement vers la digitalisation

Grâce au développement d’outils en ligne, investir dans les biens locatifs devient bien plus simple et accessible qu’auparavant. Il est aujourd’hui facile de trouver des logiciels qui permettent la gestion de ses locations en autonomie et de cette façon, optimiser son rendement locatif.

Sceptique ?  

Laissez-nous vous présenter les principaux avantages des outils de gestion en ligne quand on est investisseur locatif novice ou aguerri.

 

Avec le bon outil, gérer seul devient possible !

Gérer un bien locatif peut paraître complexe et pas forcément à la portée de tous. Cela nécessite du temps, de l’organisation et bien évidemment des connaissances indispensables afin de rester dans la légalité.

Heureusement, si vous optez pour la digitalisation de votre gestion locative et comptable, vous n’êtes pas seul dans cette aventure.  

L’outil TOMAPPART a été conçu pour vous offrir une expérience de gestion dans la simplicité et vous permettre une utilisation intuitive et sans tracas. Votre tableau de bord vous offre un aperçu de l’essentiel et seuls les onglets nécessaires ont été prévus pour faciliter au possible la gestion autonome des propriétaires bailleurs.

De plus, l’innovation du logiciel TOMAPPART vous offre une aide précieuse grâce à l’automatisation de certaines tâches courantes, telles que l’envoi automatique des quittances, l’actualisation de vos encaissements, la possibilité de mettre en place le prélèvement automatique avec vos locataires pour collecter vos loyers sans contraintes, la tenue de votre comptabilité automatisée, etc.

 

Garder la main sur sa gestion locative

Pour ceux qui ne souhaitent pas déléguer leur gestion locative, les outils en ligne peuvent se révéler comme étant un concept intéressant et innovant. Le logiciel TOMAPPART permet justement le pilotage de votre gestion locative et comptable en ligne.

Quand on mandate une agence immobilière pour la gestion de ses biens locatifs, aucune visibilité ne nous est laissée, ce qui peut accroître un sentiment d’anxiété, d’avancer dans le flou avec une retenue souvent conséquente sur le loyer perçu. 

Grâce à un logiciel en ligne, vous restez le pilote de votre projet de location tout en optimisant votre taux de rentabilité. 

TOMAPPART est aujourd'hui le seul outil en ligne qui vous permet de gérer la locations de vos biens ET de tenir votre comptabilité depuis un même espace. Vous devenez autonome dans votre gestion locative et comptable sans pour autant que cela soit une corvée, car tout est prévu pour vous simplifier la vie! 

 

Piloter son patrimoine locatif à distance

La dématérialisation complète vous donne l’avantage de pouvoir gérer votre activité d’investisseur locatif en toute sérénité et simplement depuis votre ordinateur ou votre tablette. 

Dans le cas de TOMAPPART, l’application mobile est téléchargeable gratuitement pour vous offrir une gestion sans encombre où que vous soyez et quand vous le souhaitez simplement à l’aide de votre smartphone. Aucune contrainte de temps ni de distance, vous êtes libre de vos mouvements et de vos horaires pour gérer votre patrimoine en ligne comme un pro !

L’outil en ligne devient votre alliée pour vous permettre l’accès rapide et fluide à la vision d’ensemble de votre activité immobilière. Depuis votre espace personnel, vous aurez tous les accès :

  • accéder aux dossiers locataires/locations,
  • aux quittances,
  • à tous les documents utiles à votre gestion
  • à la comptabilité* du bien,
  • etc.

Tous les moyens utiles sont mis à disposition pour une gestion sereine en toute autonomie.

 

Gagner du temps et optimiser son budget pour la gestion  

Tout le monde s’accorde à dire « le temps, c’est de l’argent ». 

Il faut savoir que l’investissement locatif demande une gestion particulière et minutieuse. En effet, il ne suffit pas juste d’acheter un bien et de le mettre en location, mais bien de « gérer » tout ce qu’il y a autour :  

  • Paiements des loyers et des charges,
  • divers problèmes à régler avec le locataire,  
  • quittances de loyer à envoyer,
  • déclaration d'impôt,
  • relance en cas d'impayé,
  • tenir sa comptabilité à jour,
  • etc.

Cette gestion administrative et juridique nécessite donc beaucoup de temps et la gestion locative demande donc un minimum d’investissement personnel.

De plus, avec la gestion locative, il faut penser bien évidemment à la gestion comptable de son activité de propriétaire bailleur qui varie selon que l’on est loueur meublé non-professionnel (LMNP) ou acquéreur à partir d’une société civile immobilière (SCI).

En conséquence, si vous rechercher l’autonomie, un outil de gestion locative seule ne fera pas l’affaire. Vous aurez besoin de faire appel à un comptable.

Gérez en autonomie son activité c’est bien, mais pouvoir s’appuyer sur un outil qui joint la simplicité d’utilisation à l’automatisation c’est mieux 

En plus de limiter le budget prévu à la gestion locative et comptable, avec TOMAPPART, vous faites des économies et vous êtes plus organisé et vous gagnez du temps.

Vous êtes convaincu par la gestion locative et comptable en ligne ?  

Sachez que TOMAPPART vous propose l’outil professionnel tout en un adapté aux particuliers, pour la gestion locative ET comptable*. 

Vous apprécierez certainement :

  • Une expérience utilisateur agréable
  • l’ergonomie de l’interface,
  • les tarifs d’abonnement adaptés à vos besoins et évolutifs sur demande,
  • l’optimisation de votre rentabilité en payant moins cher et en consacrant moins de temps aux tâches de gestion chronophages et fastidieuses,
  • la disponibilité de notre équipe joignable par chat, email ou téléphone,
  • l’accès à divers indicateurs-repères sur votre activité

Vous avez la possibilité d’adapter votre budget à la formule qui répond le mieux à vos besoins. Si vous avez la curiosité de tester l’outil TOMAPPART dans un premier temps, nous vous suggérons la formule gratuite limitée pour avoir un aperçu de votre espace de gestion ainsi que quelques-unes des fonctionnalités proposées.

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Les étapes pour créer sa SCI

Vous disposez de plusieurs options pour créer votre SCI. Il vous est possible de réaliser la création seul mais mieux vaut demander à vous faire accompagner par un comptable ou un organisme de formalités administratives en ligne (LegalPlace, LegalStart, etc.), dans le cas où vous n’êtes pas certains de pouvoir respecter toutes les étapes de création minutieusement.

 

Faire le choix d’investir avec une SCI

Créer une société civile immobilière (SCI) permet de constituer et gérer un patrimoine à plusieurs. Cette forme juridique apporte de la flexibilité et permet de bénéficier d’une fiscalité avantageuse, notamment dans le cadre d’une succession. En effet, les principaux avantages d’une SCI sont la facilité de gestion et la transmission du patrimoine immobilier.

La Société Civile Immobilière correspond à une personne morale. Il s’agit d’une structure juridique permettant de gérer un ou plusieurs biens et est détenue par au minimum 2 associés : il peut s’agir de 2 personnes physiques (ami, famille, etc.) ou d’une personne physique (exemple : vous) et d’une personne morale (une autre société que vous dirigez), dont les parts seront réparties à votre convenance.

Le patrimoine immobilier est détenu par la société civile immobilière et chaque associé reçoit des parts sociales proportionnelles à son apport. Avec une SCI vous gardez une perméabilité totale entre le patrimoine détenue sous votre SCI avec votre patrimoine personnel.

Concrètement, cela signifie que si votre emprunt n’est pas remboursé, vous serez tenu responsable à titre personnel du manque à payer à la banque. Cette dernière sera donc en mesure d’exiger son reste suivant le pourcentage à hauteur duquel vous détenez votre SCI.

Comme toute société, la société civile immobilière dispose de statuts, régissant son fonctionnement. Rédiger les statuts permet notamment de définir les modalités de prise de décision, à l’unanimité ou à la majorité par exemple.

Par ailleurs, les associés d’une SCI désignent un gérant, qui aura comme fonction de prendre à sa charge la gestion courante du ou des biens immobiliers détenu(s) par la société, sans avoir à engager de formalités auprès des autres associés.

La création d’une SCI se fait suivant un ordre d’étapes précis à respecter.

 

Quelles étapes pour la création de son SCI ?

On peut présenter les étapes comme suit :

  • Les statuts,
  • Le choix fiscal,
  • Le dépôt du capital social,
  • Annonce dans le journal légal,
  • CFE,
  • Kbis.

Étape 1 : Rédaction des statuts

La rédaction des statuts est l'une des toutes premières démarches lors de la création d'une société.  Plus précisément, elle intervient entre la fixation du montant du capital social et le dépôt du capital social. C'est la signature des statuts qui permet à la société d'être juridiquement constituée. Cela correspond à un contrat rédigé entre les associés pour déterminer le rôle de chacun au sein de la SCI, les pourcentages répartis entre chacun, la façon dont sera gérer la trésorerie de la future SCI, etc.

Une fois rédigés, les statuts sont déposés au greffe du tribunal de commerce et sont donc publics. C’est pourquoi il est important de les constituer avec précision, il est souvent recommandé de se faire accompagner par un comptable pour la réalisation de vos statuts.

À savoir que la rédaction des statuts doit obligatoirement impliquer les mentions qui suivent :

  • La dénomination sociale : Le choix vous appartient quant au nom que vous déciderez de donner à votre SCI (il sera toutefois important de vérifier auprès de la base INPI que le nom choisi ne soit pas protégé),
  • La forme juridique,
  • L’adresse de son siège social,
  • Les apports de chaque associé ou actionnaire,
  • L’objet social : Le rôle d’une SCI est principalement d’acquérir des biens et de tirer profit de la location de ces biens (il ne s’agira pas d’achat-revente),
  • Le montant du capital,
  • La date de clôture de l’exercice : Dans le cas où vous opteriez pour l’impôt sur le revenu (régime de transparence fiscale), il est recommandé de choisir le 31 décembre comme date de clôture. Dans le cas où vous vous orientez vers l’impôt sur les sociétés, il sera plus avantageux de fixer votre date de clôture d’exercice soit au moment que votre holding (dans le cas où vous détenez votre SCI avec votre société), soit de façon décalée de manière à pouvoir distribuer du dividende et encaisser l’argent, tout dépend de votre situation personnelle,
  • La durée de vie.

Selon la forme juridique de votre société, des informations complémentaires peuvent être requises pour la rédaction de vos statuts, telles que :

  • Les règles de prise de décision des principaux organes de la société,
  • La répartition des parts sociales entre les associés,
  • La désignation du gérant, président, directeur général, etc.

Dans certains cas, il est nécessaire d'ajouter certains documents aux statuts. Par exemple, pour une SARL ou une SA, il est obligatoire de fournir le rapport du commissaire aux apports lorsque des apports en nature dépassant certains seuils sont réalisés pour la création.

Enfin, il est important de noter que les statuts sont nécessairement formalisés par un écrit qui doit être signé, de manière manuscrite par l’ensemble des partis participants à la création de la société (associé(s) ou actionnaire(s)).

Étape 2 : Choix du régime fiscal

Le régime de la SCI se caractérise par un certain nombre d’éléments :

  1. L’activité principale de la société doit nécessairement être à caractère civil :
    • Elle porte généralement sur la gestion d’un patrimoine immobilier pour diverses raisons,
    • Elle ne peut être commercial (saufs cas particuliers prévus par la loi) ;
  2. Le capital social n’est pas concerné par un minimum social imposé :
    • Il peut être variable,
    • Il est divisé en parts sociales égales (réparties entre les associés selon leur participation au capital).
  3. Le régime fiscal : la SCI est soumise par défaut au régime de l’impôt sur le revenu (IR) bien qu’il soit possible d’opter pour le régime de l’Impôt sur les Sociétés (IS).
    • L’Impôt sur les Revenus : Cela correspond à la transparence fiscale, il s’agit d’un régime de revenu foncier (dans le cas d’une personne morale il s’agit du revenu BIC)
    • L’Impôt sur les Sociétés : Il s’agit d’un choix irrévocable qui permet des déductions des frais (notaire, agence immobilière lorsque vous décidez d’opter pour ce régime dés le départ), les amortissements des biens acquis, etc. Cela permet de justifier d’une non-imposabilité pendant en moyenne 10-15 ans.

Dans les 2 cas, votre choix correspondra à un régime simplifié, il n’y aura pas d’intérêt pour vous à opter pour le régime réel (cela deviendra obligatoire dans le cas où votre SCI génère un grand chiffre d’affaire). Il n’y a pas non plus d’intérêt à opter pour la TVA si votre activité consistera à détenir des biens locatifs destinés à des particuliers car il vous sera impossible ni de la déduire ni de la collecter (exception faite de certains programme). Néanmoins, si vous investissez dans du neuf et envisagez la location professionnelle où les locataires seront eux-mêmes assujettis à la TVA, vous serez en mesure de la collecter.

Étape 3 : Dépôt du capital social

Le capital social peut être déposé par chèque bancaire (provenant d'une banque domiciliée en France), virement bancaire ou encore espèces. Ce capital ne correspond pas à un montant devant être libéré auprès d’une banque, par ailleurs, il est recommandé de choisir un montant d’une valeur relativement faible (exemple : 100€) afin que vous soyez en mesure de le verser si besoin, ou le libérer (comme dans le cas où vous décidez d’opter à l’impôt sur les sociétés à 15%).

Le dépôt du capital social doit être fait sur un compte bloqué auprès d'un établissement de crédit ou d’un notaire. En revanche, il ne peut pas être effectué dans un établissement de paiement.

Les fonds seront disponibles après l'immatriculation de la société au registre du commerce et des sociétés (RCS) et au registre national des entreprises (RNE).

On dit que le capital social est mis sous séquestre.

À savoir : Le dépôt du capital social auprès de la Caisse des dépôts n'est plus possible depuis le 1er juin 2021. Vous pouvez récupérer le capital déposé avant cette date en suivant la procédure indiquée sur le site de la Caisse des dépôts.

Étape 4 : Publication dans le JAL

Cela correspond à la publication dans un des journaux d’annonces légales du département où vous avez créé votre SCI le récapitulatif de votre nouvelle création.

Une fois que les statuts signés par les associé(s) ou actionnaire(s), votre entreprise a une existence juridique. Vous êtes alors tenu de rendre votre démarche publique en procédant à :

  • L’enregistrement des statuts au registre du commerce et des sociétés (RCS) par le biais de l’immatriculation de votre société,
  • La publication des statuts par le biais de la diffusion d’annonce légale dans un journal habilité.

Le tarif de publication dépend de la forme juridique de la société et du département dans lequel l'annonce est publiée. Le montant peut varier d’un journal à un autre, n’hésitez pas à en contacter plusieurs si vous souhaitez opter pour le moins cher.

Étape 5 : Dépôt au greffe (CFE)

Tous les documents qui résulteront des étapes précédentes seront à transmettre au greffe du tribunal de commerce, avec notamment :

  • L’attestation (sur l’honneur) de non condamnation et de filiation,
  • Le registre des bénéficiaires effectifs (en référence aux lois anti-blanchiment pour justifier des propriétaires et décisionnaires de la société civile immobilière),
  • Les justificatifs d’identité des associés carte d’identité (en cours de validité),
  • Un justificatif de domicile (reconnu),
  • Le formulaire M2 rempli et signé.

Étape 6 : Obtention du KBIS

Lorsque toutes ces étapes seront finalisées vous obtiendrez votre extrait de KBIS. Veillez à prévoir la mention de votre nouvelle SCI apposée sur votre boîte aux lettres de manière à ce que vous soyez en mesure de recevoir vos documents de la part du greffe.

À présent, vous pourrez commencer votre activité d’investisseur immobilier avec votre SCI. Afin d’être gérés par la SCI, le bien doit être rapporté à la société. En conséquence, les associés ne sont pas eux-mêmes propriétaires du bien car c’est la SCI qui en détient la propriété. 

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La location meublée non professionnelle, qu’est-ce que c’est ?

Lorsqu'on souhaite investir en location meublée, ou passer de la location vide au meublé, la question de la définition d'un bien meublé se pose souvent.

 

Définition

Selon le site service-public : « Pour être considéré comme meublé, un logement mis en location avec un bail d'habitation (y compris bail mobilité) doit comporter au minimum certains meubles. » 
Lorsque vous louez votre bien en LMNP, il doit être habitable immédiatement par votre locataire. Il doit pouvoir emménager en apportant seulement ses effets personnels. Il est important de prendre en compte le fait qu'un appartement confortable vous permettra de percevoir des revenus de location supérieurs à ceux d'un appartement peu équipé.

 

Loyers plus élevés et meilleure rentabilité

Meubler votre bien vous permet de le louer 20 % plus cher en moyenne qu'un bien vide

La rentabilité brute de votre bien sera également supérieure s'il est loué meublé plutôt que vide, de par des loyers perçus plus importants.

La rentabilité nette, prenant en compte l'imposition sur vos revenus, sera également bien supérieure avec un bien loué meublé.

Grâce aux mesures fiscales très avantageuses liées à l'activité de location meublée, vos impôts seront fortement réduits et la rentabilité de votre bien maximisée.

Cet avantage se vérifie quel que soit le type de locataire et le bail signé. Vous bénéficiez de la flexibilité dans le choix de votre locataire (location meublée à un étudiant, location à un salarié expatrié, location d'un meublé de tourisme...)

Pour débuter votre activité, vous devez effectuer différentes démarches et formalités, telles que déclarer votre début d'activité de loueur en meublé afin d'obtenir un numéro SIRET. Cette identification vous sera demandée par le centre des impôts lors du dépôt de votre déclaration 2031.

 

Quelles conditions pour faire de la LMNP

La loi prévoit 2 conditions impératives pour obtenir le statut de location meublée non professionnelle :

  1. Les recettes tirées des activités de loueur en meublé (c'est-à-dire les loyers charges comprises) doivent être inférieures à 23 000€,
  2. Les gains issus de votre location LMNP doivent être inférieurs ou égaux aux autres revenus générés par les personnes appartenant au foyer fiscal.

Bon à savoir :
Les autres revenus d’activité correspondent aux gains du foyer fiscal soumis à l’impôt sur le revenu en France dans les catégories suivantes :

  • Traitements et salaires y compris les pensions et rentes viagères,
  • BIC autres que ceux tirés de la location meublée, BA, BNC,
  • Revenus des gérants et associés

Les normes légales à respecter

Le statut LMNP est encadré par des normes très précises auxquelles il sera important de se conformer :

  • Le bien doit être à usage d’habitation,
  • Il doit être décent,
  • Si l'appartement se situe dans un immeuble en copropriété, le règlement de copropriété doit autoriser la location meublée dans le bâtiment,
  • Il doit être meublé et comporter les équipements minimums obligatoires.

Les équipements nécessaires pour la location meublée

Selon le décret du 31 juillet 2015, vous pourrez louer en meublé à condition d’équiper votre logement avec au moins les éléments suivants :

  • De la literie (matelas, oreillers, couette),
  • Des rideaux ou volets pour occulter la lumière dans les chambres à coucher,
  • Des plaques de cuisson,
  • Un four ou un four à micro-ondes,
  • Un réfrigérateur (avec une partie congélateur obligatoire en l’absence de congélateur),
  • De la vaisselle en quantité suffisante (en fonction de l’occupation maximale du logement),
  • Du matériel de cuisine,
  • Une table et des sièges,
  • Des rangements (étagères, placards...),
  • Des luminaires,
  • Du matériel d'entretien adapté à l’usage courant de l’appartement ou de la maison meublée.

Si vous ne remplissez pas les conditions d'un équipement suffisant, vous risquez la requalification de votre logement meublé en location vide.

N'hésitez pas à prévoir du matériel et du mobilier supplémentaire afin de distinguer votre logement des autres biens à louer sur le marché

Et en cas de dépassement du plafond de recettes ?

En cas de dépassement du plafond fixé par les conditions ci-dessus, le loueur en meublé non professionnel devient automatiquement LMP (Loueur en Meublé Professionnel).
Ces conditions s'ajoutent aux règles qui s'appliquent à tous les propriétaires qui souhaitent louer en meublé.

 

Choisir son régime fiscal de déclaration

En tant que LMNP, le propriétaire-bailleur a accès à deux régimes fiscaux pour déclarer ses revenus aux impôts : le réel simplifié et le micro BIC

Avantages du régime réel simplifié

Dans 85% des cas, le régime Réel Simplifié se présente comme le régime le plus avantageux pour faire de la LMNP. Les LMNP peuvent bénéficier de cette option fiscale et optimiser leur fiscalité.

Charges déductibles

Le réel simplifié permet de déduire de nombreux coûts : l'entretien et la réparation du logement, les frais d'assurance et de gestion, les frais de comptabilité, les intérêts d'emprunt, etc.

Amortissements déductibles

Le régime du LMNP au réel simplifié permet de déduire l'amortissement du matériel et des locaux ainsi que des travaux (construction, reconstruction, amélioration), si ceux-ci sont inscrits à l'actif.

Bon à savoir :
Si le loueur a acheté son logement l'année de la déclaration, il pourra déduire les frais de notaire liés à l'acquisition du logement, ainsi que les honoraires d'agence à condition de les comptabiliser l’année de la dépense. Dans le cas contraire, ils seront perdus.

L'option fiscal du réel simplifié permet de réaliser des économies d'impôt importantes : En effet, il est fréquent que le montant des charges et amortissements déductibles soit supérieur à 50% des recettes annuelles.

Cette fiscalité va augmenter considérablement la rentabilité nette en permettant aux loueurs en meublé de payer très peu (voire pas du tout) d’impôts en amortissant leur bien et en déduisant toutes les charges inhérentes à sa mise en location.

À noter : 
La déclaration au réel est plus complexe que la déclaration au micro-BIC ; En effet, l’administration fiscale exige que les amortissements soient calculés par composants ; Il faut pour cela bien maîtriser les durées d’amortissement ainsi que leur proportion dans la valeur du bien immobilier. Ces calculs étant compliqués, vous gagnerez du temps et de la sérénité en vous faisant accompagner pour votre liasse fiscale.

Le régime micro-BIC pour LMNP

Si les recettes du foyer fiscal issues de la location meublée sont inférieures ou égales à 77 700 € (188 700 € pour les meublés de tourisme classés), le régime par défaut est le micro-BIC.

Ce régime prévoit un abattement forfaitaire de 50 % sur les recettes annuelles de l'activité de location meublée (71 % pour les meublés de tourisme). Autrement dit le loueur est imposé dans sa tranche d'imposition sur la moitié des recettes perçues (loyers charges comprises).

Aucune déduction supplémentaire de charges ou d'amortissements n'est possible, ce qui rend ce régime moins intéressant que le régime réel simplifié.

 

Obtenir le statut LMNP : Acquisition et immatriculation 

La première démarche pour obtenir le statut de location meublée non professionnelle est d'acquérir un bien immobilier et de bien l'équiper pour le louer meublé.

Ensuite, il s’agit d’entamer la procédure obligatoire afin de s'immatriculer en ligne sur le site de l'INPI.

Vous avez opté pour l’achat en nom propre

C’est l’option qui nécessite le moins de formalisme et qui permet à une seule et même personne de détenir le bien et d’en disposer comme elle le souhaite, dans ce cas il vous faudra :

  1. Remplir en ligne le formulaire P0i,
  2. Déclarer votre début d'activité locative,
  3. Spécifier votre choix de régime fiscal (micro-BIC, réel simplifié ou réel normal),
  4. Déterminer votre régime de TVA,
  5. Préciser le régime fiscal choisi pour votre déclaration de revenus de location meublée,

L’indivision quand on achète à plusieurs

Dans le cas où vous achetez le bien à plusieurs, c’est le régime de l’indivision qui s’applique. Pour le mettre en place il faudra remplir le formulaire FCM, à compléter en ligne sur le site de l'INPI également. Vous disposez d'un délai de 15 jours en moyenne pour vous déclarer. Vous obtiendrez finalement un numéro SIRET indispensable pour la déclaration de vos revenus aux impôts.

Pour plus d’informations sur votre régime fiscal et déclarations de revenus, retrouvez toutes les informations sur le site internet Service Public.

 

Après l'immatriculation LMNP :

Vous avez reçu votre numéro de SIRET ? Vous pouvez à présent :

  • Adhérer à un OGA (Organisme de Gestion Agrée, aussi appelé CGA ou AGA); Cette adhésion vous permettra de bénéficier d'une réduction d'impôts de 2/3 de vos frais de comptabilité liés la gestion de votre bien loué,
  • Créer votre espace professionnel sur le site des impôts : vous pourrez y régler votre CFE (Cotisation Foncière des Entreprises), une taxe locale payable par tous les loueurs en meublés avant le 15 décembre de l'année en cours. La première année d'activité, vous pourrez en être exonéré, sauf si vous avez démarré l'activité au 01/01 de l'année. 

Bon à savoir :
Depuis le 01 janvier 2023, tous les propriétaires français, loueurs meublés inclus, doivent désormais déclarer l'occupation de leur(s) logement(s) à usage d'habitation sur l'espace "Gérer mes biens immobiliers" du site des impôts.

Lever l'option pour le régime Réel Simplifié

Dans le cas où vous débutez votre activité LMNP au régime Réel Simplifié, le fait d’avoir coché le régime Réel Simplifié lors de votre immatriculation, suffit normalement à vous enregistrer sous ce régime. Il n’est donc pas nécessaire de lever l’option. La levée d’option s’applique surtout aux loueurs meublés qui souhaitent passer d’un régime fiscal à un autre.

À noter :

Si vous déclariez vos revenus de location meublée au Micro Bic et que vous souhaitez passer au régime Réel Simplifié par la suite, vous devrez lever l’option pour ce régime au plus tard avant la date de déclaration de vos revenus de l'année fiscale concernée. La levée d’option est possible à faire en ligne depuis votre espace professionnel sur le site impot.gouv

 

Comment déterminer votre date de début d'activité de loueur en meublé ?

Il est essentiel de bien déterminer la date de votre début d'activité de location meublée lorsque vous déclarez vos revenus meublés au régime du réel simplifié.

Dans le cas d'un bien meublé acquis dans l'année

La date de début d'activité de votre location meublée non professionnelle correspond à la date d'acquisition du bien ou la date de la première dépense de l'année. Ainsi, les frais de notaire, les travaux éventuels et achats de mobiliers réalisés avant l'entrée du premier locataire pourront bien être déduits. 

Attention : il ne faut pas avoir habité dans le logement pendant cette période et qu'il soit destiné à la location meublée.

Dans le cas d'un bien déjà loué meublé ou déjà dans votre patrimoine

Il s’agit là ni d’un achat, ni de travaux à déclarer sur le bien. La date de début d'activité correspondra à la date à laquelle le bien est mis en location

Par exemple : Vous signez un bail de location le 10 mai pour un bien dont l’annonce de location a été publiée le 9 avril pour une location possible à compter du 17 avril. La date de mise en location meublée sera du 17 avril.

Cette date de début d'activité est importante car elle correspond à la date des premières dépenses qui pourront être déduites, dans le cadre  de la déclaration LMNP ou LMP au régime réel simplifié.

 

Dans quel logement investir en LMNP ?

Avant d'investir dans une location meublée, il faut réfléchir stratégiquement aux points suivants :

  • Penser à la cible de locataires en fonction de là où est situé le bien (étudiants, professionnels en déplacement, etc.),
  • Évaluer la rentabilité de son investissement (loyers perçus, charges, frais de gestion, etc.)

Les appartements meublés sont très recherchés par les étudiants mais également par les actifs en mission professionnelle. Dans les grandes agglomérations, les studios et les deux pièces trouveront donc très facilement preneur.

Dans les zones touristiques, ils sont également de plus en plus recherchés mais pas forcément toute l’année. La vacance locative peut avoir un impact non négligeable du point de vue de la rentabilité !

 

Pourquoi investir dans le LMNP ancien ?

Le LMNP ancien concerne les logements meublés indépendants (par exemple un appartement dans un immeuble en copropriété ou une maison individuelle louée à des touristes) et en résidence-services (un studio dans une résidence-service pour étudiants, par exemple) déjà en exploitation.

L'investissement en logement meublé ancien a comme avantage principal le choix plus personnalisé de votre bien immobilier si vous optez pour un logement indépendant : vous pouvez choisir un bien localisé en centre-ville ou près d'une attraction touristique, avec un cachet particulier qui séduira une clientèle exigeante. S'il y a des travaux de réhabilitation ou d'aménagement à effectuer, vous pourrez les déduire en choisissant le LMNP au réel simplifié et ainsi réduire vos impôts de location meublée.

Dans le cas où vous décidez de vous orienter vers un bien ancien en résidence-services, sachez que vous aurez l'avantage d'avoir du recul sur la rentabilité réelle et les contraintes de gestion du logement, qui aura déjà été loué auparavant.

Quel bail meublé choisir ?

Il existe plusieurs types de contrats locatifs parmi lesquelles l'investisseur pourra faire un choix en fonction de ses besoins :

Location meublée longue

Ce choix concernera une résidence principale et s’inscrira dans le cadre d’une location dont la durée sera au minimum de 12 mois. Pour des étudiants, le bail sera quant à lui d’une durée de 9 mois. Il faudra veiller à anticiper la vacance locative pour ne pas fausser votre taux de rentabilité.

Location saisonnière 

Il existe également un autre type de bail dit de "mobilité", dont la durée est obligatoirement comprise entre 1 et 10 mois.

Si le bien immobilier est situé dans une zone touristique ou une grande ville, il peut être intéressant de le louer pour de courtes périodes (quelques jours à quelques semaines) à des touristes ou à des voyageurs d'affaires. Les investisseurs locatifs en LMNP peuvent opter pour :

  • Un meublé de tourisme ( commercialisé sur Airbnb, Booking...),
  • Un gîte rural,
  • Une chambre d'hôte.

Vous avez à présent toutes les clés en main pour créer votre LMNP et pour bénéficier de tous les avantages fiscaux que ce statut vous permet dans le cadre de votre activité d’investisseur locatif. 

Tomappart vous accompagne pour la gestion locative et comptable de vos locations en LMNP pour vous permettre de louer vos biens en toute sérénité.

N’hésitez pas à essayer notre formule gratuite pour avoir un aperçu de toutes les fonctionnalités que propose l’outil Tomappart pour une gestion autonome simplifiée.