Publié le 24 September 2025

Le dépôt de garantie, souvent source de tension entre locataires et propriétaires, connaît des évolutions importantes en 2025. Comprendre les nouvelles règles devient essentiel pour sécuriser sa location.
Ce guide complet répond à toutes vos questions sur le dépôt de garantie : définitions, montants, procédures de versement et de restitution, ainsi que les recours possibles.
Que vous soyez locataire ou bailleur, découvrez vos droits, obligations et des conseils pratiques pour éviter les pièges. Profitez d’une vision claire, détaillée et à jour pour gérer sereinement le dépôt de garantie.
Partez à la découverte des spécificités selon le type de location, des aides disponibles, et des astuces d’experts pour anticiper les changements de 2025.
Le dépôt de garantie occupe une place centrale dans la relation locative, surtout face aux évolutions prévues en 2025. Comprendre ses règles, son rôle et ses limites est essentiel pour éviter les litiges et sécuriser la location, que l’on soit locataire ou bailleur.

Le dépôt de garantie désigne la somme versée par le locataire au propriétaire lors de la signature du bail. Son objectif est clair : couvrir d’éventuels manquements, comme des loyers impayés, des dégradations ou des charges non réglées. Cette pratique est devenue quasi systématique, avec 9 baux sur 10 comportant un dépôt de garantie selon Service-Public.
À ne pas confondre avec la caution, qui est une personne physique ou morale se portant garante du locataire. Le dépôt de garantie est une somme bloquée, tandis que la caution intervient en cas de défaut de paiement.
| Élément | Dépôt de garantie | Caution |
|---|---|---|
| Nature | Somme d’argent versée | Engagement d’une personne |
| Moment d’utilisation | À la signature du bail | En cas de défaillance du locataire |
| Rôle | Couvrir les manquements | Garantir le paiement au bailleur |
Par exemple, lors d’une location vide, le dépôt de garantie est plafonné à un mois de loyer hors charges. En location meublée, il peut atteindre deux mois. Pour un bail mobilité, il n’est pas exigé. Ainsi, le dépôt de garantie s’adapte au type de location et aux risques associés.
Le dépôt de garantie est strictement encadré par la loi ALUR et son cadre évolue encore en 2025. Parmi les nouveautés, on note l’ajustement des plafonds selon le type de location et le renforcement des modalités de restitution. Pour les colocations, chaque colocataire doit être clairement identifié dans le bail, tout comme la quote-part du dépôt de garantie.
Il est impératif d’inscrire le montant du dépôt de garantie dans le contrat de location. Une clause conforme pourrait indiquer : « Le locataire verse un dépôt de garantie d’un mois de loyer hors charges, encaissé par le bailleur à la signature du bail. » À l’inverse, une clause imposant un montant supérieur au plafond légal serait non conforme.
Les logements sociaux peuvent présenter des exceptions, avec parfois une absence de dépôt de garantie ou des plafonds spécifiques. Pour aller plus loin sur l’évolution des règles, consultez ce Guide complet sur le dépôt de garantie locataire 2025, qui détaille les montants, délais et recours.
Attention, le dépôt de garantie ne peut en aucun cas servir à payer le dernier mois de loyer. Cette compensation automatique est interdite par la loi. De même, l’entretien courant du logement ou la vétusté normale ne justifient pas de retenue sur le dépôt de garantie.
Sont également exclus : les frais d’agence, les charges non prévues dans le bail et toute somme non justifiée. Il est courant de voir des erreurs, comme la déduction d’un nettoyage classique ou de petits travaux d’usure, qui ne sont pas couverts par le dépôt de garantie.
Pour éviter les litiges, il est essentiel de bien distinguer entre ce qui relève de la responsabilité du locataire et ce qui découle de l’usage normal du logement. Garder une trace des échanges et des justificatifs permet de sécuriser la restitution du dépôt de garantie.
Comprendre le montant, le versement et l’encaissement du dépôt de garantie est essentiel pour sécuriser la relation entre locataire et bailleur. Chaque type de location possède ses propres règles, plafonds et particularités. Cette section propose un panorama précis des modalités à connaître en 2025.

Le montant du dépôt de garantie varie selon le type de location. En 2025, la législation reste stricte sur les plafonds, afin de protéger les locataires tout en garantissant la sécurité du bailleur.
Voici un tableau récapitulatif des principaux plafonds :
| Type de location | Plafond dépôt de garantie |
|---|---|
| Location vide | 1 mois de loyer hors charges |
| Location meublée | 2 mois de loyer hors charges |
| Bail mobilité | Aucun dépôt de garantie |
| Logement social | Plafond spécifique ou exonération |
Dans 80 % des cas, les propriétaires exigent le montant maximal autorisé par la loi. Il est donc primordial de vérifier le montant demandé et de s’assurer qu’il respecte le cadre légal. Par exemple, pour une location meublée, le plafond du dépôt de garantie atteint 2 mois de loyer hors charges, alors que le bail mobilité ne permet aucune demande de dépôt de garantie.
Certaines exceptions existent, notamment pour les logements sociaux où le dépôt de garantie peut être réduit ou supprimé, selon les conventions du bailleur social. Inscrire le montant exact dans le contrat de location protège les deux parties et évite les litiges ultérieurs.
Le versement du dépôt de garantie intervient lors de la signature du bail, avant la remise des clés. Il peut s’effectuer par chèque, virement bancaire ou espèces (dans la limite légale), mais le bailleur doit toujours fournir un reçu au locataire. L’encaissement du dépôt de garantie par le bailleur est obligatoire, même si le locataire règle par chèque.
Différents organismes peuvent aider à avancer le dépôt de garantie, notamment le Fonds de Solidarité pour le Logement (FSL) ou Action Logement via l’avance LOCA-PASS. Ces solutions facilitent l’accès au logement pour les locataires ayant des difficultés de financement. L’attestation de versement ou le reçu délivré par le bailleur est un document à conserver précieusement.
Pour approfondir la question des documents à remettre et comprendre l’importance de la quittance dans la gestion du dépôt de garantie, consultez le Guide pratique des quittances de loyer qui détaille les bonnes pratiques et les mentions obligatoires.
Les obligations liées au dépôt de garantie sont encadrées pour garantir l’équilibre entre locataire et bailleur. Le montant doit obligatoirement figurer dans le bail, sous peine de nullité de la clause. À chaque versement, le bailleur est tenu de remettre un reçu au locataire, preuve indispensable en cas de contestation.
Il est interdit d’augmenter le montant du dépôt de garantie en cours de bail, même si le loyer évolue. Toute tentative d’augmentation constitue une infraction susceptible d’entraîner des sanctions, telles que le remboursement immédiat du trop-perçu ou des pénalités financières.
En cas de non-respect de ces règles, le locataire peut saisir les autorités compétentes. La rigueur dans l’application de ces obligations limite considérablement les risques de litiges autour du dépôt de garantie.
La restitution du dépôt de garantie est une étape cruciale de la relation locative. Pour de nombreux locataires et bailleurs, elle suscite interrogations et parfois litiges. En 2025, il est essentiel de bien comprendre les règles, délais et procédures pour éviter les mauvaises surprises.

La loi encadre strictement les délais de restitution du dépôt de garantie. Si l’état des lieux de sortie correspond à celui d’entrée, le bailleur dispose d’un mois à compter de la remise des clés pour restituer le dépôt de garantie. En cas de différences ou de dégradations constatées, ce délai est porté à deux mois.
Le point de départ du délai est la date de restitution des clés, qui doit figurer sur l’état des lieux de sortie. Selon les statistiques, un litige sur trois liés à la location concerne le non-respect du délai de restitution du dépôt de garantie. Il est donc conseillé de formaliser chaque étape par écrit, notamment la remise des clés.
Pour plus de détails sur les règles actuelles et les procédures de restitution, consultez le guide complet Dépôt de garantie en location : les règles en vigueur.
Le bailleur peut retenir une partie du dépôt de garantie en cas de dégradations, d’impayés ou de charges non régularisées. Cependant, chaque retenue doit être justifiée par des documents précis : devis, factures, photos, ou états des lieux comparatifs.
En copropriété, la loi autorise une provision pouvant atteindre 20% du dépôt de garantie jusqu’à l’assemblée générale annuelle, lorsque des charges restent à régulariser. Il est important de distinguer entre retenues légitimes (réparations avérées) et pratiques abusives (retenues pour vétusté normale ou entretien courant, qui sont interdites).
Voici un tableau récapitulatif :
| Motif de retenue | Justificatif obligatoire | Accepté ? |
|---|---|---|
| Dégradation constatée | Devis ou facture + photos | Oui |
| Loyer impayé | Relevé de compte, courrier | Oui |
| Charges non régularisées | Appels de charges, AG copropriété | Oui (20% max) |
| Vétusté normale | Aucun, non retenu | Non |
Avant toute retenue, le bailleur doit transmettre l’ensemble des justificatifs au locataire.
En l’absence d’état des lieux de sortie, la présomption de bon état s’applique en faveur du locataire, sauf preuve contraire apportée par le bailleur. Si l’une des parties refuse l’état des lieux, il est possible de faire intervenir un commissaire de justice, dont les tarifs sont réglementés et partagés à parts égales.
En cas de litige sur la restitution du dépôt de garantie, la procédure amiable est à privilégier. Il convient d’adresser une lettre recommandée avec accusé de réception pour formuler sa demande ou contester une retenue. Si aucun accord n’est trouvé, la médiation ou le recours devant le juge des contentieux de la protection peut être envisagé.
Il est recommandé de conserver toutes les preuves d’échanges et de démarches pour défendre ses droits efficacement.
Le locataire dispose de plusieurs moyens pour contester une retenue jugée abusive sur le dépôt de garantie. Il peut utiliser des modèles de lettres spécifiques pour réclamer la restitution du solde, en y joignant les justificatifs nécessaires.
Le délai de prescription pour agir en justice est de trois ans à compter de la date de restitution prévue. En cas de difficulté persistante, il est conseillé de se rapprocher de l’ADIL, d’une association de consommateurs ou de saisir le juge compétent.
Voici quelques contacts utiles :
Agir rapidement et fournir un dossier complet augmente les chances d’obtenir gain de cause.
Lorsqu’un logement est vendu en cours de bail, le nouveau propriétaire devient responsable de la restitution du dépôt de garantie. Le montant doit être transmis lors de la vente, accompagné des documents justificatifs.
En cas de changement de bailleur, il est essentiel de vérifier que le dépôt de garantie a bien été transféré. La loi oblige le nouveau propriétaire à restituer la somme au locataire à la fin du bail, selon les mêmes règles de délais et de justificatifs.
Pour garantir ses droits, le locataire doit demander un écrit attestant du transfert du dépôt de garantie lors de la cession du logement.
Le dépôt de garantie évolue selon le type de location et certaines situations particulières. Comprendre ces différences est essentiel pour sécuriser la location, que vous soyez locataire ou bailleur. Chaque mode d’occupation implique des règles de montant, de versement et de restitution spécifiques. Voici un tour d’horizon des particularités à connaître pour éviter les litiges et anticiper les démarches.

Le montant du dépôt de garantie varie selon le type de bail. Pour une location vide, la loi limite le dépôt de garantie à un mois de loyer hors charges. En location meublée, ce plafond s’élève à deux mois de loyer hors charges, reflétant la valeur du mobilier mis à disposition. Le bail mobilité, quant à lui, n’autorise aucun dépôt de garantie, ce qui facilite l’accès au logement pour les personnes en mobilité temporaire.
Voici un tableau récapitulatif :
| Type de location | Plafond du dépôt de garantie | Particularités |
|---|---|---|
| Location vide | 1 mois hors charges | Restitution sous 1 ou 2 mois |
| Location meublée | 2 mois hors charges | Inventaire mobilier obligatoire |
| Bail mobilité | Aucun | Pas de dépôt de garantie possible |
Pour approfondir les règles liées à la location meublée, vous pouvez consulter l’article Dépôt de garantie en location meublée en 2025, qui détaille les montants autorisés et conditions de restitution. Inscrire le montant du dépôt de garantie dans le bail est obligatoire, tout comme la remise d’un reçu au locataire.
En colocation, le dépôt de garantie est généralement versé en une seule fois par l’ensemble des colocataires. Il peut être réparti équitablement entre eux, mais le propriétaire n’est tenu de le restituer qu’à la fin du bail, ou lors du départ du dernier colocataire. Si un seul colocataire quitte la location, il doit s’entendre avec les autres pour récupérer sa part du dépôt de garantie.
En cas de sous-location, la gestion du dépôt de garantie nécessite l’accord écrit du bailleur. Le sous-locataire peut verser un dépôt de garantie au locataire principal, mais ce dernier reste responsable vis-à-vis du propriétaire. Il est donc essentiel de bien formaliser la sous-location, notamment en précisant le montant et les modalités de restitution du dépôt de garantie dans le contrat écrit. Attention, toute sous-location non autorisée expose le locataire principal à des sanctions.
Pour les logements situés en copropriété, le dépôt de garantie peut être partiellement retenu par le bailleur, à hauteur de 20 %, jusqu’à la régularisation annuelle des charges lors de l’assemblée générale. Cette retenue permet d’ajuster le remboursement en fonction des dépenses réelles. Le propriétaire doit fournir un décompte de charges et restituer le solde du dépôt de garantie dans le délai légal après régularisation.
Exemple de calcul : si le dépôt de garantie s’élève à 800 €, le bailleur peut conserver 160 € (20 %) jusqu’à la production du décompte définitif des charges de copropriété. Cette pratique protège les deux parties contre les régularisations imprévues. Il est conseillé de conserver tous les justificatifs liés aux charges pour faciliter la restitution.
Dans le secteur social, le dépôt de garantie peut être inférieur aux plafonds habituels, voire inexistant selon la politique du bailleur social. Certaines structures, comme les foyers ou résidences étudiantes, appliquent des règles particulières : dépôt de garantie réduit, modalités de restitution simplifiées, ou absence totale de dépôt de garantie.
Pour les logements soumis à des régimes spécifiques (baux commerciaux, logements de fonction), il convient de vérifier les clauses du contrat, car le montant, les modalités de versement et de restitution du dépôt de garantie peuvent s’écarter du droit commun. Dans tous les cas, la transparence et la formalisation écrite restent essentielles pour prévenir les malentendus.
Obtenir un logement implique souvent de devoir avancer un dépôt de garantie conséquent, ce qui peut représenter un obstacle pour de nombreux locataires. Heureusement, plusieurs solutions existent afin de faciliter ce financement et de sécuriser la relation entre bailleur et locataire. Découvrons les principales aides, garanties et outils disponibles pour gérer efficacement le dépôt de garantie.
De nombreux locataires rencontrent des difficultés pour réunir le dépôt de garantie à l’entrée dans un logement. Pour alléger ce fardeau, des dispositifs publics et privés sont accessibles.
Le Fonds de Solidarité pour le Logement (FSL) propose une aide financière, sous conditions de ressources, permettant de prendre en charge tout ou partie du dépôt de garantie. L’avance LOCA-PASS, portée par Action Logement, offre un prêt à taux zéro pouvant aller jusqu’à 1 200 euros, remboursable en 25 mois, pour financer ce dépôt. Les jeunes actifs, quant à eux, peuvent solliciter l’aide Mobili-Jeune pour compléter leur budget.
En 2023, près de 30% des locataires de moins de 30 ans ont bénéficié d’une aide pour le dépôt de garantie. Ces dispositifs sont essentiels pour accéder rapidement à un logement sans mobiliser l’ensemble de son épargne.
Le dépôt de garantie ne couvre pas tous les risques locatifs, d’où l’intérêt de garanties complémentaires. La garantie Visale, proposée par Action Logement, protège le bailleur contre les impayés de loyers et les dégradations locatives, sans coût pour le locataire éligible.
Il est important de distinguer la garantie Visale du dépôt de garantie : la première intervient en cas d’incident de paiement, tandis que le second sert à couvrir d’éventuelles réparations ou impayés à la fin du bail. Les deux dispositifs peuvent parfois se cumuler, mais certains propriétaires préfèrent exiger uniquement le dépôt de garantie. Se renseigner sur les conditions d’éligibilité permet d’optimiser la protection de chacun.
Pour anticiper le versement du dépôt de garantie, il est recommandé de s’y préparer dès la recherche de logement. Ouvrir un compte d’épargne dédié ou solliciter un prêt personnel peut aider à rassembler la somme nécessaire.
Il est aussi utile de réunir à l’avance les justificatifs nécessaires pour obtenir une aide, comme les avis d’imposition ou bulletins de salaire. En cas de difficulté, solliciter le FSL ou Action Logement reste une démarche simple et rapide.
Enfin, bien vérifier que le montant du dépôt de garantie exigé respecte la législation en vigueur évite les mauvaises surprises au moment de l’emménagement.
La digitalisation de la gestion locative apporte de réels avantages pour le suivi du dépôt de garantie. Tomappart propose une plateforme intuitive permettant d’automatiser la gestion des dépôts, la génération de quittances et la centralisation des documents, tout en garantissant la conformité légale.
Cette solution s’adresse aussi bien aux propriétaires particuliers qu’aux SCI ou LMNP, avec une offre gratuite en 2025 pour tester la plateforme sans engagement. Pour aller plus loin sur les bénéfices des outils digitaux, découvrez les avantages de la gestion locative en ligne, qui facilitent le quotidien des bailleurs et des locataires.
Avec Tomappart, la gestion du dépôt de garantie devient transparente, sécurisée et beaucoup plus simple pour tous les acteurs de la location.
Bien gérer le dépôt de garantie est essentiel pour prévenir les litiges et garantir une relation sereine entre locataire et bailleur. Adopter les bonnes pratiques dès la signature du bail jusqu’à la restitution permet d’éviter de nombreux désagréments. Découvrez les conseils d’experts pour chaque étape clé.
La première règle pour sécuriser le dépôt de garantie consiste à soigner l’état des lieux d’entrée et de sortie. Utilisez une checklist détaillée, prenez des photos datées et faites signer chaque page à toutes les parties.
Conservez tous les échanges relatifs au logement, notamment par email ou courrier recommandé. Pensez aussi à transmettre votre nouvelle adresse au bailleur pour faciliter la restitution du dépôt de garantie.
Une erreur fréquente consiste à vouloir compenser le dernier loyer avec le dépôt de garantie. Cette pratique est interdite et peut entraîner des sanctions. Vérifiez que le montant inscrit dans le bail respecte la législation en vigueur.
Respectez toujours les délais légaux pour toute démarche liée au dépôt de garantie, que ce soit pour la restitution ou la contestation d’une retenue.
La clé pour éviter les conflits autour du dépôt de garantie réside dans la communication transparente entre locataire et propriétaire. Informez-vous régulièrement sur vos droits et obligations à l’aide de sources fiables, comme le site Service-Public ou l’ADIL.
Avant d’entamer une procédure judiciaire, privilégiez une résolution amiable, par exemple via la médiation. Pour aller plus loin sur la gestion professionnelle de la relation bailleur-locataire, consultez Comprendre la gestion locative.
En 2025, restez attentif aux évolutions législatives concernant le dépôt de garantie. Les plafonds, procédures et obligations peuvent évoluer, impactant directement vos démarches.
L’utilisation d’outils digitaux dédiés à la gestion locative simplifie le suivi du dépôt de garantie et la génération des documents conformes. Anticipez chaque étape pour éviter les mauvaises surprises lors de la restitution.
Pour aller plus loin, appuyez-vous sur des modèles de lettres pour contester une retenue, des simulateurs d’aides au logement, et des contacts d’associations spécialisées.
Consultez régulièrement les guides officiels et références légales pour rester à jour sur le dépôt de garantie. Un accompagnement professionnel ou associatif peut faire la différence en cas de difficulté.